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    Environnement
  • LNC | Crée le 12.05.2003 à 21h00 | Mis à jour le 23.07.2016 à 21h03
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    Thomas Coville (Sodebo) a décidé de privilégier la fiabilité lors du deuxième Challenge mondial assistance à la voile, disputé entre Cherbourg et Rimini.

    Marin avisé s'il en est, il avait eu la sagesse d'arrêter sa progression dans la Route du Rhum, dès l'instant où son trimaran avait montré les premiers signes de faiblesse des bras de liaison avant, en plein Océan Atlantique.« Nous avons fait un bateau dans lequel nous avons confiance à 100 % », affirme le marin, dont la vocation est née en partie en voyant passer les bateaux de la Route du Rhum sous les fenêtres de son lycée des hauteurs de Saint-Malo.« Lorsque nous sommes sur le bateau, nous voulons être sûrs que nous pouvons tirer dessus de façon sereine. Nous ne nous priverons pas de border. De ce point de vue, nous ne voulons pas avoir à réfléchir », ajoute Thomas Coville, le tout dit dans le calme, mais avec une grande détermination.« Notre bateau est le plus large. C'est une chose que nous avons voulue dès le départ pour avoir un bateau de course au large. Il est conçu pour naviguer entre 10 et 40 noeuds de vent », poursuit Coville, précisant que « la sécurité était partie prenante de la performance ».Toute la philosophie du projet Coville est là : un bon bateau qui va vite, au service d'un collectif, sans que la peur ne s'immisce au sein de l'équipage.Polyvalence « Dans toutes les courses, les options météo sont fondamentales, confier cela à une seule personne, c'est lui mettre une pression énorme », explique le navigateur.« Je n'ai pas voulu dissocier un navigateur en lui confiant le routage pour qu'il ne ressente pas les foudres d'un caractériel quand cela ne marche pas. Quand cela se passe bien, c'est une vedette et lorsque cela ne va pas, c'est lui qui subit les regards », ajoute Coville.Les équipiers de Thomas Coville, Jacques Vincent, second de fait, ainsi que Loïc Le Mignon, Fred Guilmin, Hervé Cunningham et Martial Salvan, sont tous des « polyvalents ». Tous ces marins s'entendent admirablement bien, un détail d'importance sur un bateau où la promiscuité induit souvent des conflits qui n'existeraient pas forcément à terre.A bord de « Sodebo », la progression se fera les deux premiers jours au près. Puis, c'est au milieu du Golfe de Gascogne, et ensuite au large de La Corogne (Espagne), que se décideront les premières options.

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