Les vitraux de la chapelle Saint-Thomas, construite en 1938 grâce à des dons des Américains, ont été volés.
L’imposant tabernacle en marbre de la chapelle a été brisé.
Certains bâtiments ont été complètement démontés. Il ne reste plus que la charpente de celui-ci.
Si les plantes ne sont pas en excellent état, ces bureaux situés au pied de la chapelle ont été démolis. Des montagnes de verre, provenant des baies vitrées brisées, jonchent le sol, rendant le site, ouvert, très dangereux.
Symbole de l’architecture des lieux, ce morceau de toiture bloque désormais la petite route qui mène à la chapelle.
De nombreux équipements tels que des blocs sanitaires, des prises de courant ou des climatiseurs ont été récupérés.
Détrempés par la pluie, plusieurs dizaines de cartons contenant des documents administratifs du CHT ou de la clinique de Magenta, comme des budgets, des dossiers médicaux ou des informations professionnelles sont laissés à l’abandon.
L’ancien poste de surveillant, inscrit à l’inventaire supplémentaire en 2006, n’a pas été épargné. De nombreux documents administratifs ont été répandus.
Classée, l’ancienne maison dite Rochefort, qui a abrité un temps un musée, a été cernée par les flammes.
Menaçant de s’effondrer, des briques sont suspendues à un câble.
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