2 > La danse d’ouverture des jeunes de Pothé comme les chants de la troupe de la tribu de Moméa, (ici), et autres festivités ont subjugué l’auditoire.
3 > Charles Gaspard (en arrière-plan à droite) et Adrien Kaouri (1er à gauche) respectivement, président et chargé des affaires culturelles de l’aire Ajië Aro, aux côtés de coutumiers du coin présentent un bilan positif de la fête.
1 > et 4 > Pour cette journée, chaque district s’est vu attribuer une mission par le comité de pilotage. Pendant que les hommes de Mwärhu s’occupaient du four, les mamies tressaient les plats en feuilles. Pour cette édition, 500 kg et 22 variétés différentes de tubercules ont été récoltés dans le jardin de l’aire, à Bouirou. « 300 kg ont été cuits au four traditionnel pour la journée de samedi. Le reste va servir pour les festivités de Pâques, dimanche et lundi », a souligné Adrien Kaouri, le superviseur. A midi, les trois fours traditionnels ont été ouverts. « Pour accompagner l’igname nouvelle, comme le veut la tradition, nous avons également préparé des notous et roussettes, symbolisant les clans de montagne et une tortue représentative des clans de la mer. Il y a aussi des anguilles, du cochon, du poulet. »
5 > Celle-ci est aussi l’occasion de transmettre le savoir-faire des anciens, comme cet atelier sur la réalisation de tapas, animé par Yvon Kona.
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