azerty

azerty

qwerty

qwerty

    Sports
  • Claire Gaveau | Crée le 17.08.2019 à 04h26 | Mis à jour le 05.08.2020 à 04h21
    Imprimer
    Gaëlle Ravenel et Luc Enée, qui naviguent ensemble depuis trois ans maintenant, participent à leurs premiers championnats de France.Photo C.G.

    VOILE. Ils ont gagné le droit de rêver. Après plus de trois mois d’entraînement, Gaëlle Ravenel et Luc Enée se sont envolés lundi pour la Métropole, à Brest, où se disputent les championnats de France de voile, du 17 au 23 août.

    Après un premier déplacement à Fidji l’année dernière, où ils avaient remporté les Oceania Sud en catégorie jeunes, les deux amis vont devoir encore hausser leur niveau à bord de leur Hobie Cat 16 afin de rivaliser avec les 18 autres équipages engagés, âgés de 16 à 25 ans. « Ce sont nos premiers championnats de France. C’est vraiment quelque chose de fou », lance d’emblée Luc.

    Sportivement, les questions demeurent malgré tout importantes. « On y va surtout pour acquérir de l’expérience mais l’objectif minimum, c’est de terminer dans le top 10 pour participer à la régate finale, la medal race », poursuit l’adolescent.

    DES COURANTS DIFFICiles À GÉRER

    Des propos abondés par Gaël Warter, leur entraîneur au Catamaran Club de Nouméa, qui sera également du voyage. « On sait qu’il y a vraiment un très bon niveau parmi les premiers bateaux », glisse-t-il, espérant malgré tout un podium pour l’équipage calédonien.

    Pour cela, les conditions météorologiques devront être favorables aux jeunes Cagous. « S’ils avaient été ici, sur leur plan d’eau, ils auraient eu leurs chances. Là, c’est dur de se prononcer car s’il n’y a pas de vent et qu’il y a du courant, comme c’est souvent le cas ici, ça va être très difficile pour nous », poursuit-il. Du haut de leurs 16 ans, les deux Calédoniens, qui naviguent ensemble depuis trois ans, espèrent prouver leur complicité pour mettre à mal l’expérience de certains adversaires. « C’est quelque chose de vraiment important. On commence à être synchronisés, on sait comment l’autre réagit pour anticiper par exemple. Et lorsqu’il y a du stress, en pleine course, on sait aussi comment se parler pour qu’il n’y ait pas de problème sur le bateau », poursuit Gaëlle Ravenel.

    De quoi garder espoir alors que les deux adolescents, élèves de première et terminale, ont eu cinq jours pour s’acclimater aux conditions métropolitaines et, ainsi, rêver du titre national.

    MERCI DE VOUS IDENTIFIER
    X

    Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.

    J'AI DÉJA UN COMPTE
    Saisissez votre nom d'utilisateur pour LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes
    Saisissez le mot de passe correspondant à votre nom d'utilisateur.
    JE N'AI PAS DE COMPTE

    Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ?
    Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement.
  • DANS LA MÊME RUBRIQUE
  • VOS RÉACTIONS
    Contenus Locaux Sponsorisés










rigthbanner

rigthbanner