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    Nouvelle Calédonie
  • P.C. et C.R. | Crée le 27.10.2017 à 04h25 | Mis à jour le 27.10.2017 à 11h47
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    Paysage de désolation après l’incendie du 19 octobre. Le lien entre ce feu et les personnes interpellées reste à établir. Photo Anthony Tejero
    Justice. Trois personnes qui auraient volontairement allumé des feux à Païta ont été arrêtées. Elles seraient à l’origine de l’incendie qui a ravagé 1 600 hectares.

    Trois incendiaires présumés ont été arrêtés à Païta mardi et mercredi, a indiqué hier la gendarmerie nationale dans un communiqué. Deux d’entre eux sont âgés de 26 ans. Le troisième vient de fêter son 23e anniversaire mercredi, au cours de sa garde à vue.

    Les trois hommes sont soupçonnés d’avoir allumé volontairement trois départs de feux à proximité de la tribu de Bangou au cours de la nuit du 17 au 18 octobre. Des feux qui, selon les premiers éléments communiqués par les autorités, « se sont propagés sur environ 10 hectares ».

     

    Comparution immédiate

    Aucun lien n’est officiellement établi, mais la gendarmerie suspecte que ces départs de feu puissent être à l’origine du spectaculaire incendie qui a ravagé, à partir du 19 octobre, plus de 1 600 hectares de brousses dans la zone.

    La circonscription de cet incendie a nécessité l’intervention de près d’une cinquantaine de pompiers, mis en danger des habitations - dont certaines ont été évacuées - et coupé la Grande Terre en deux pendant plusieurs heures. L’hélicoptère de la section aérienne de gendarmerie a été nécessaire pour permettre aux techniciens en identification criminelle d’effectuer les premières constatations. Les enquêteurs sont parvenus à recueillir des éléments permettant d’identifier les suspects au cours du week-end dernier. Ils ont été présentés à la justice hier, jeudi, et placés en détention provisoire.

    Ils doivent être jugés ce matin devant le tribunal correctionnel selon la procédure de comparution immédiate pour des faits de « destruction par incendie de bois, forêt, lande, maquis ou plantation d’autrui pouvant créer un dommage irréversible à l’environnement ».

    Dans ce dossier, le GDPL (groupement de droit particulier local) Société d’élevage de Bangou s’est constitué partie civile.

     

     

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