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  • Neil Sands/AFP | Crée le 20.10.2020 à 04h33 | Mis à jour le 20.10.2020 à 04h33
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    Le parti de Jacinda Ardern a remporté 64 sièges des 120 sièges du Parlement, ce qui lui donne toute latitude pour mener ses réformes à terme. Photo AFP
    Nouvelle-Zélande. La Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern s’est engagée, dimanche, au lendemain de sa victoire éclatante aux élections, à faire les réformes qu’une série de crises l’a empêchée de mener lors de son premier mandat.

    Le Parti travailliste de Jacinda Ardern a obtenu samedi 49,1 % des suffrages, ce qui va lui permettre d’avoir la majorité absolue au Parlement et de gouverner sans coalition.

    Après avoir fait l’objet de critiques pour ne pas avoir tenu ses promesses lors de son premier mandat, notamment en matière de protection de l’environnement et sociale, Jacinda Ardern a déclaré être désormais en position d’effectuer des réformes.

    La charismatique Première ministre a affirmé que sa victoire éclatante, la plus importante du Parti travailliste depuis 1946, signifie que davantage d’électeurs soutiennent son parti et son programme réformiste.

    « Je pense qu’ils approuvent le travail que nous avons accompli et le projet que nous avons pour aller de l’avant, et il y a certains domaines dans lesquels nous voulons progresser », a affirmé Jacinda Ardern.

    La quadragénaire, devenue un symbole du progressisme de centre-gauche après son élection en 2017, a reconnu que la nécessité d’apaiser les petits partis membres de sa coalition avait « ralenti » sa politique de réformes lors de son premier mandat. Au cours de celui-ci, la dirigeante travailliste a également dû gérer la pire attaque terroriste perpétrée dans l’archipel, une éruption volcanique meurtrière, la récession la plus grave depuis plus de trente ans, et bien sûr, le défi historique de la pandémie.


    L’« élection du Covid »

    Samedi soir, lors du discours prononcé à l’issue de sa victoire, elle a fait part de sa volonté de s’attaquer à des problèmes tels que le changement climatique, la pauvreté et l’inégalité.

    Sa principale opposante, la cheffe de file du Parti national, Judith Collins, a reconnu que les électeurs avaient donné carte blanche à Jacinda Ardern pour mettre en œuvre ces changements.

    Pour Judith Collins, dont le parti a obtenu 26,8 % des suffrages, cela signifie également que la Première ministre ne peut plus prétendre que ses échecs politiques sont dus aux membres de sa coalition.

    « Le gouvernement a le mandat pour mettre en œuvre tous ses engagements, donc ils ne peuvent plus reprocher à quelqu’un de ne pas l’avoir fait », a affirmé Judith Collins à la presse.

    La campagne électorale a été axée sur le succès du gouvernement dans la lutte contre la pandémie, Jacinda Ardern surnommant ce scrutin d’« élection du Covid ».

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