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    Nouvelle Calédonie
  • E.C. | Crée le 04.01.2019 à 04h30 | Mis à jour le 04.01.2019 à 04h30
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    Outre les points de détection et les surfaces brûlées, le dispositif est capable de recenser les végétations et les sites d’intérêt, les enjeux économiques, ou encore les biens et les personnes. Photo Archives LNC
    Environnement. Une mission de l’Œil s’est rendue à Fidji afin de présenter Vulcain, son dispositif d’alerte incendie. Objectif : évaluer son déploiement sur l’archipel.

    A Fidji, où la sécheresse et les incendies exercent une forte pression sur les forêts et sur son moteur de croissance qu’est le tourisme, l’Œil (Observatoire de l’environnement) a forcément trouvé une oreille attentive. La présentation de son dispositif de suivi et d’alerte incendie a rencontré un « franc succès » auprès du gouvernement, de l’autorité nationale de lutte contre les feux, des coutumiers, des exploitants sylvicoles ou des agriculteurs. A la demande du gouvernement calédonien et de la CPS (dont une antenne est basée à Fidji), la mission de l’observatoire a permis d’identifier l’intérêt d’un déploiement de l’application Vulcain, dont le géoportail permet d’observer avec précision l’étendue des feux, en s’appuyant sur les images satellites de la Nasa. « C’est extrêmement intéressant de pouvoir échanger avec eux, car ils rencontrent des problématiques similaires de dégradation de leurs milieux naturels, développe Matthieu Juncker, directeur de l’Œil. En parallèle, cette opération de partenariat permettrait le partage de savoir-faire et d’expérience. » Parce que la coopération régionale fait aussi partie de ses missions. Mais pour l’observatoire, cette sollicitation est aussi « valorisante » et perçue comme « une preuve de reconnaissance. »


    Demande de financement

    Reste à savoir comment adapter le dispositif à l’archipel fidjien. Les satellites exploités par le dispositif couvrant une large zone du Pacifique, « voire le monde entier pour certains », les données sur Fidji sont donc d’ores et déjà disponibles. A condition de pouvoir les isoler.

    « Le déploiement implique également d’adapter les traitements à l’échelle de Fidji, afin d’en extraire les informations sur les points chauds et les surfaces brûlées détectés par satellite », poursuit le directeur. Quant au montant de l’investissement, « techniquement, il n’est pas énorme » assure-t-on. Une demande de financement a d’ailleurs déjà été déposée sur la table du Fonds français pour le Pacifique, des deux gouvernements, ainsi que de la CPS.

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