Attendue depuis très longtemps par les Nouméens, la collecte sélective tarde à se mettre en place. Pour les associations environnementales, la ville a perdu trop de temps et n'engage pas une véritable démarche. Aujourd'hui, sans l'apport des déchets de la capitale, les filières ne peuvent être rentables. Le nouveau marché de propreté urbaine, dont on connaîtra début novembre les nouveaux prestataires, prévoit cette collecte mais pas avant trois ans. Il faudra avant cela trouver et organiser les filières pour le tri, le traitement et la valorisation.