Au fait, vous êtes peut-être au courant : la 31e édition des Jeux Olympiques de l'ère moderne se déroule actuellement au Brésil, à Rio de Janeiro.

Et si vous n'êtes pas forcément accro au sport, ce n'est pas grave, vous pouvez trouver un autre intérêt à la compétition. Car cette grand-messe médiatique permet à certains sportifs de se distinguer à l’orée des terrains. C'est le cas pour plusieurs athlètes océaniens.

Voici un petit résumé, non exhaustif, de ce qu'il ne fallait pas louper.

Pour commencer, peut-être que le nom de Pita Taufatofua ne vous dit rien. L'athlète tongien, qualifié pour l'épreuve de taekwondo et porte-drapeau de sa délégation, s'est particulièrement fait remarquer lors de la cérémonie d'ouverture.

Pita Taufatofua has stolen every girl's heart for the next 2 weeks ;) #RioOlympics2016 pic.twitter.com/t0HNTDD2EV

— Nicole Berry (@nicole_berry23) 6 août 2016

Sa belle gueule, sa plastique de guerrier des temps modernes et son corps oint d'huile en ont sans doute fait pâmer plus d'un(e). Dont Adriana Lima, le top brésilien.

 

Great day on the set of @todayshow with @adrianalima ! #brazil #tonga

Une photo publiée par Pita Taufatofua (@pita_tofua) le 8 Août 2016 à 16h37 PDT

Un site internet de buzz l'a même classé en tête de son classement des athlètes les plus « hot ».

Dans un autre registre, David Katoata, un haltérophile des îles Kiribati, s'est distingué par ses pas de danse funky après chacune de ses tentatives. L'homme est une star dans son pays et plusieurs sites d'information précisent qu'il est très engagé dans la lutte contre le réchauffement climatique et la montée des eaux qui touche de plein fouet son archipel. Si sa danse peut contribuer à son faire connaître cette problématique des temps modernes au plus grand nombre…

Enfin, les fantastiques joueurs fidjiens de rugby à VII ont procuré une bonne dose d'émotion à leur pays - ils ont remporté la première médaille olympique de leur histoire - et au public. Vainqueurs 43 à 7 en finale contre l'Angleterre, ces guerriers dominent vraiment la planète rugby à VII de la tête et des épaules… et de la voix, comme en témoigne leur chant puissant, entonné à l'issue de leur victoire finale…