azerty

azerty

qwerty

qwerty

  • © 2018 AFP | Crée le 27.01.2018 à 06h54 | Mis à jour le 05.08.2020 à 08h02
    Imprimer
    afp_journal
    Le président vénézuélien Nicolas Maduro et son épouse Cilia Flores (d), lors d'un rassemblement, le 23 janvier 2018 à Caracas JUAN BARRETO-AFP/Archives

    La "Table de l'unité démocratique" qui réunit les trois principaux partis d'opposition au Venezuela a été exclue jeudi par la Cour suprême de justice de la prochaine élection présidentielle anticipée, à laquelle ces partis pourront toutefois participer séparément.

    "Le Conseil national électoral doit exclure la +Table de l'Unité démocratique+ (MUD) du processus" électoral, selon la décision de la Cour.

    En revanche, celle-ci prolonge de six mois la période pendant laquelle les partis qui forment cette coalition peuvent se réinscrire, leur laissant la possibilité d'y participer à titre individuel.

    Deux des principaux partis d'opposition qui composent la MUD, Action Démocratique et D'abord la justice, doivent se réinscrire auprès du pouvoir électoral après avoir été exclus du scrutin présidentiel en raison de leur boycott des municipales de décembre.

    Depuis la décision de l'Assemblée constituante, dotée de pouvoirs étendus et acquise au chef de l'Etat socialiste Nicolas Maduro, de convoquer un scrutin avant le 30 avril, plusieurs adversaires du pouvoir avaient manifesté leur envie d'y prendre part.

    Cette décision intervient au moment où le Venezuela traverse une grave crise économique et politique, après des manifestations violentes contre le président Maduro qui ont fait 125 morts d'avril à juillet.

    Même si la cote de popularité de Nicolas Maduro est légèrement remontée, le taux d'insatisfaits est de 70%, selon l'institut de sondage Delphos. Une partie des Vénézuéliens lui reproche la profonde crise économique qui secoue ce pays pétrolier : pénurie d'aliments et hyperinflation, attendue à 13.000% en 2018, selon le FMI.

    Jusqu'à présent, la présidentielle était officiellement prévue pour fin 2018 mais certains experts estimaient déjà que sa date pourrait être avancée par le camp présidentiel.

    Avant la décision de la Cour suprême d'exclure la coalition d'opposition, les douze pays latino-américains du Groupe de Lima ont condamné l'organisation anticipée de ce scrutin, estimant par la voix du chef de la diplomatie chilienne Heraldo Munoz que "cette décision empêche le déroulement d'une élection présidentielle démocratique, transparente et crédible".

    MERCI DE VOUS IDENTIFIER
    X

    Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.

    J'AI DÉJA UN COMPTE
    Saisissez votre nom d'utilisateur pour LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes
    Saisissez le mot de passe correspondant à votre nom d'utilisateur.
    JE N'AI PAS DE COMPTE

    Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ?
    Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement.
  • VOS RÉACTIONS
    Contenus Locaux Sponsorisés










rigthbanner

rigthbanner