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  • © 2017 AFP | Crée le 26.08.2017 à 19h31 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h26
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    Un homme de 22 ans a été arrêté en Seine-Saint-Denis parce qu'il était soupçonné de vouloir commettre "un acte violent" notamment contre des boîtes de nuit PHILIPPE HUGUEN-AFP/Archives

    Un homme de 22 ans, interpellé mardi en Seine-Saint-Denis parce qu'il était soupçonné de vouloir commettre "un acte violent" notamment contre des boîtes de nuit, sans projet toutefois établi, a été mis en examen par un juge antiterroriste et écroué, a-t-on appris samedi de source judiciaire.

    Présenté vendredi à un juge d'instruction parisien, le jeune homme, jusqu'ici inconnu de la justice, a été mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle et placé en détention provisoire, selon la source.

    Ce radicalisé, qui vit chez ses parents à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), près de Paris, avait été interpellé mardi par les policiers de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), dans le cadre d'une enquête ouverte le 9 août par la section antiterroriste du parquet de Paris.

    Les investigations "laissaient craindre qu'il était susceptible de commettre un acte violent dans la mesure où il avait fait savoir qu'il cherchait à se procurer une arme", a expliqué une source proche du dossier, précisant qu'il avait échoué dans cette recherche.

    Les enquêteurs ont notamment repéré des messages sur les réseaux sociaux qui faisaient ressortir "des propos et une attitude pro-jihad", selon la même source.

    D'après les premiers éléments de l'enquête, le suspect, aurait envisagé de s'attaquer à des "bars, boîtes de nuits et des lieux tels que les clubs homosexuels et les clubs libertins" mais ce "projet intellectuel" est resté vague, en l'absence notamment de repérages.

    Le jeune homme, qui était surveillé par les services antiterroristes, a reconnu en garde à vue qu'il avait pu avoir ce projet d'attaque.

    L'enquête se poursuit pour déterminer s'il a pu entretenir des liens avec des membres de la mouvance radicale.

    La menace terroriste reste à un niveau maximal en France, frappée depuis janvier 2015 par une vague d'attentats jihadistes qui a fait 239 morts.

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