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  • © 2016 AFP | Crée le 25.04.2016 à 05h09 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h09
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    Des gens réagissent après qu'un tir de roquette a frappé une mosquée de la ville frontalière de Kilis, dans le sud-est de la Turquie, le 24 avril 2016 YASIN AKGUL-AFP

    Cinq roquettes tirées d'une zone en Syrie aux mains du groupe Etat islamique (EI) ont frappé dimanche la ville frontalière turque de Kilis (sud-est), y faisant un mort et 26 blessés, a annoncé le vice-Premier ministre turc, Yalçin Akdogan.

    Une première salve a touché le toit d'une maison dans le quartier d'Okcular tandis qu'une deuxième s'est abattue à proximité d'une mosquée, a-t-il dit, cité par l'agence de presse Dogan au cours d'un point de presse à Kilis, où il se était en déplacement.

    "L'artillerie turque a immédiatement riposté à ces attaques", a-t-il souligné.

    Six Syriens figurent parmi les blessés. Des habitants effrayés et en colère ont entamé une marche vers les bureaux du gouverneur à Kilis, mais ont été dispersés par la police, a fait savoir le journal Hurriyet Daily.

    Depuis le début de l'année, Kilis avait déjà été la cible de plusieurs tirs de roquettes effectués par des jihadistes de l'EI, qui avaient provoqué la mort de civils.

    Selon un bilan global donné par M. Akdogan, 45 roquettes se sont abattues sur la ville depuis la mi-janvier, entraînant la mort d'au moins 16 personnes.

    Lundi, une salve de roquettes avait déjà fait cinq morts, dont quatre enfants, tous syriens.

    La Turquie a riposté à chaque tir de roquettes par des tirs d'artillerie.

    Samedi soir, au cours d'une conférence de presse à Gaziantep (sud-est) avec la chancelière allemande Angela Merkel et le président du Conseil européen Donald Tusk, qui sont allés se rendre compte des conditions de vie des réfugiés syriens, le Premier ministre Ahmet Davutoglu avait averti que la Turquie répondrait "avec force à toute action" qui la viserait.

    Longtemps accusée de complaisance à l'égard des groupes rebelles syriens les plus radicaux, la Turquie a rejoint l'été dernier la coalition antijihadiste dirigée par Washington et multiplié les arrestations dans les milieux jihadistes, après une série d'attentats-suicides attribués à des cellules proches de l'EI sur son sol.

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