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  • © 2017 AFP | Crée le 06.12.2017 à 19h46 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h53
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    Le président Francois Hollande parle avec Johnny Hallyday tandis que sa femme Laetitia embrasse le Premier ministre Manuel Valls à la fin d'une cérémonie le 10 jancier 2016, un an après l'attentat contre Charlie Hebdo PHILIPPE WOJAZER-POOL/AFP/Archives

    "Que je t'aime! Que je t'aime!": la classe politique, toutes tendances confondues, rend hommage à Johnny Hallyday, même si l'Insoumis Alexis Corbière a créé un début de polémique sur les réseaux sociaux en relativisant l'importance de l'annonce de sa mort dans un tweet depuis retiré.

    "On a tous en nous quelque chose de Johnny Hallyday", "Il était le bad boy qui chantait l'amour, le rocker sentimental qui défiait Gabrielle ou Sarah, le cœur tendre allant de conquêtes en déchirures. Nous avons souffert et aimé avec lui": Emmanuel Macron a donné le ton dès l'annonce du décès du chanteur à l'âge de 74 ans, affirmant que "tout le pays est en deuil".

    "Johnny est parti dans la nuit. Nous aurions tellement aimé le retenir. Chacun se sent un peu seul aujourd'hui", déclare dans un communiqué son prédécesseur à l'Elysée, François Hollande, saluant dans l'interprète de "Retiens la nuit" "un élément de notre patrimoine musical national".

    "Que je t'aime! Que je t'aime!": le maire LR de Bordeaux Alain Juppé a lui aussi emprunté aux paroles chantées par Johnny Hallyday pour lui rendre hommage. "Que de souvenirs avec Johnny! Aux côtés de Jacques Chirac. Ici à Bordeaux au stade Chaban, ou bien encore il y a quelques mois au Grand stade avec les Vieilles Canailles".

    "Le taulier de la chanson française n'est plus. Un chanteur venu du peuple et que le peuple aimait", a écrit la présidente du Front national Marine Le Pen sur Twitter.

    "Johnny est mort et quelque chose en chacun de nous est parti..un vide..l'incrédulité..c'est arrivé..merci pour tout (...), nous avons grandi et vécu avec Johnny!", a tweeté l'ancien Premier ministre Manuel Valls. "Le pays s'arrête", a-t-il dit sur RTL en direct depuis New York.

    - "Comme si Paris perdait sa Tour Eiffel" -

    "Johnny, une bête de scène qui mettait le feu dans les cœurs et dans les corps. Adieu, nous t'aimons comme nous aimons notre jeunesse enfuie", a tweeté l'ancienne ministre Roselyne Bachelot.

    Pour l'ancien candidat socialiste à la présidentielle, Benoît Hamon, "ce matin c'est un peu comme si Paris perdait sa Tour Eiffel. Avec la disparition de Johnny Hallyday, la France perd un monument national de la chanson, du rock et de la culture populaire".

    "Un grand artiste populaire nous a quittés. Son oeuvre immense, ses tubes resteront gravés à jamais", a tweeté Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste français (PCF).

    "Il faisait partie de chaque famille, , légende de la chanson française, a unifié des générations. Un formidable artiste populaire, un proche nous a quittés", a écrit sur Twitter le président LR des Hauts-de-France, Xavier Bertrand.

    " a réussi à fédérer les sensibilités et les générations. Pour un artiste, c'est le suprême accomplissement", a résumé le président du MoDem, François Bayrou.

    Pour autant un début de polémique sur les réseaux sociaux est venu ternir le tableau d'ensemble, après un tweet moins élogieux du porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, Alexis Corbière: "La triste mort de ne doit pas nous faire oublier le nouveau mauvais coup qu'ils (le gouvernement, ndlr) nous préparent (prochaine cible : le SMIC)".

    Le tweet, retiré quelques dizaines de minutes plus tard, s'est attiré les foudres des internautes, dont la porte-parole des députés LREM, Aurore Bergé, qui a lancé "Vous n'avez jamais honte?!". "Johnny Hallyday est entré dans notre intimité. Il est lié à nos vies. Il n'en sortira pas", a aussi tweeté Aurore Bergé, manifestement très émue.

    "Jean d'Ormesson ou font partie de ces très rares personnages qui lorsqu'ils nous quittent, nous replongent tous dans des souvenirs d'enfance et de jeunesse et font jaillir la nostalgie...et l'on se dit que l'on vieillit. ", a rectifié Alexis Corbière.

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