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  • © 2017 AFP | Crée le 23.09.2017 à 02h04 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h32
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    Theresa May prononce un discours à Florence, le 22 septembre 2017 Jeff J Mitchell-POOL/AFP

    La Première ministre britannique Theresa May a proposé à l'Union européenne une période de transition de deux ans après le Brexit, dans un discours prononcé vendredi à Florence (Italie), soulignant qu'un accord était "dans l'intérêt de tous".

    Pendant cette période, les relations liant l'UE au Royaume-Uni resteraient en l'état, afin de pouvoir assurer une sortie de son pays de l'Union "en douceur et ordonnée", a souligné Mme May.

    Le Royaume-Uni doit quitter l'UE le 29 mars 2019, soit deux ans après le déclenchement de la procédure de divorce par Mme May. Les milieux économiques du pays réclamaient une période de transition après cette date, afin d'avoir le temps de négocier un nouveau partenariat.

    Mme May a par ailleurs promis que son pays allait honorer ses engagements financiers après sa sortie de l'UE. Cela assurera qu'aucun pays ne devra "payer plus ou recevoir moins" pour le reste du budget en cours, qui s'achève en 2020, a-t-elle souligné.

    Les médias britannique s'attendaient à ce qu'elle annonce que Londres verserait 20 milliards d'euros au titre de ce budget mais Mme May s'est gardée de donner un chiffre

    L'UE de son côté réclame une facture totale de sortie comprise entre 60 et 100 milliards d'euros, incluant des investissements d'infrastructures à plus long terme et le financement des fonctionnaires britanniques auprès de l'UE, un point de blocage dans les négociations.

    Sur une autre question centrale, celle des droits des citoyens européens, Mme May a voulu rassurer en affirmant que les tribunaux britanniques devraient se référer à l'accord de sortie et qu'elle voulait qu'ils "prennent en compte les jugements de la Cour de justice de l'UE" dans leurs décisions les concernant.

    "Je veux intégrer notre accord (de sortie de l'UE) dans la loi britannique et m'assurer que les tribunaux britanniques s'y réfèrent directement (...) et puissent se référer aux jugements de la Cour européenne de justice", a-t-elle dit.

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