L’affaire, en 2003, avait créé un début de psychose à Nouméa. Tout avait commencé le 21 mai peu avant 18 heures. Une femme est emmenée de force dans sa propre voiture garée sur un parking du centre-ville. S’ensuivent cinq heures de calvaire, où elle est violée à au moins quatre reprises dans divers quartiers de Nouméa, avant d’être « relâchée » par son « ravisseur » qui lui dit, presque simplement, « fais-moi signe si t’as besoin de quelque chose ».

Jugé depuis hier, l'auteur des faits, André Nemba a été condamné à quinze ans de réclusion criminelle par la cour d'assises. Retour complet sur l'audience dans notre édition de demain, samedi.