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  • © 2017 AFP | Crée le 28.08.2017 à 16h29 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h27
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    Des habitants de l'île de Santa Cruz aux Galapagos manifestent le 14 août 2017 pour s'opposer à la pêche aux requins pratiquée par des navires chinois JUAN CEVALLOS-AFP/Archives

    Les marins d'un navire battant pavillon chinois arraisonné dans les eaux des Galapagos avec quelque 300 tonnes de pêche à bord, dont des espèces en voie d'extinction, ont été condamnés à des peines allant jusqu'à 4 ans de prison par la justice équatorienne dimanche.

    Le Fu Yuan Yu Leng 999, arraisonné le 13 août, contenait dans ses cales 300 tonnes de poisson, dont plus de 6.600 requins, notamment des requins marteau, en voie d'extinction, et Silky.

    La justice équatorienne a condamné le commandant du navire à la peine maximale possible pour crimes contre la faune et la flore et trafic d'espèces, soit quatre ans de prison ferme. Ses trois adjoints ont été condamnés à des peines de trois ans de prison et les 16 autres marins à un an de prison.

    Tous les marins sont de nationalité chinoise.

    L'armateur du bateau a également été condamné à une amende de 5,9 millions de dollars.

    "Le tonnage et la taille" du Fu Yuan Yu Leng 999, un navire de 98 mètres, font qu'il s'agit du cas le plus important de pêche illégale dans les eaux de l'archipel, où 17 embarcations sous pavillon équatorien ont été arraisonnées ces trois dernières années pour le même délit, avait déclaré à la presse Walter Bustos, le directeur du Parc national des Galapagos (PNG), situé à 1.000 km des côtes de l'Equateur, le 26 août.

    Lors de l'arraisonnement de ce navire, les autorités équatoriennes avaient précisé qu'il faisait partie d'une flotte de 300 navires chinois presents dans les eaux internationales face aux Galapagos.

    La pêche industrielle est interdite et seule la pêche artisanale est autorisée au sein des 138.000 km2 des Galapagos, la seconde réserve marine du monde, qui comptent environ 27.000 habitants.

    Pékin et Quito sont membres de la Convention des Nations unies sur les droits de la mer, ce qui normalement oblige les deux pays à préserver et conserver les espèces des océans, et notamment les espèces vulnérables et migratoires comme les requins.

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