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  • © 2016 AFP | Crée le 15.09.2016 à 04h16 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h30
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    La chef de la diplomatie birmane et icône mondiale de la démocratie, Aung San Suu Kyi, et le président américain, Barack Obama à Washington, le 14 septembre 2016

    Le président américain Barack Obama a annoncé mercredi que les Etats-Unis étaient prêts à lever les sanctions économiques pesant sur la Birmanie, qui a effectué une transition démocratique spectaculaire après des décennies d'isolement.

    "Les Etats-Unis sont désormais prêts à lever les sanctions imposées à la Birmanie depuis longtemps", a déclaré M. Obama depuis le Bureau ovale à l'issue de sa rencontre avec la chef de la diplomatie birmane et icône mondiale de la démocratie Aung San Suu Kyi.

    Interrogé sur le calendrier, il a simplement répondu: "bientôt", sans plus de précisions.

    En mai, les Etats-Unis ont déjà réduit les restrictions dans les secteurs bancaire, minier et du bois, mais Washington a maintenu une liste noire de plus de 100 personnes accusées d'être liées à l'ancienne junte. Les Américains ne peuvent pas conclure de contrats avec les Birmans figurant sur cette liste noire, ou avec les compagnies qu'ils possèdent.

    "Nous sommes très optimistes sur l'avenir (de la Birmanie)", a ajouté M. Obama qui s'est rendu sur place à deux reprises.

    Félicitant la "dame de Rangoun", assise à ses côtés, pour les progrès accomplis, M. Obama a souligné que "beaucoup de travail restait à accomplir" mais que le pays était "sur la bonne voie".

    Aung San Suu Kyi a de son côté remercié "le peuple américain, le Congrès et le président américain" pour leur soutien durant la transition démocratique.

    M. Obama a par ailleurs annoncé, dans un courrier adressé au Congrès, que la Birmanie bénéficierait de nouveau des préférences tarifaires réservées aux pays les moins avancés, qui avaient été suspendues lorsque la junte militaire était au pouvoir.

    Aung San Suu Kyi dispose du titre de conseillère spéciale d'Etat qui lui permet de piloter le gouvernement en dépit d'une Constitution héritée de la junte lui interdisant d'être présidente.

    Son parti, la Ligue nationale pour la démocratie (NLD), a été porté au pouvoir par les législatives de novembre 2015, premier scrutin libre depuis des décennies, quatre ans après l'auto-dissolution de la junte militaire en 2011.

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