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  • © 2017 AFP | Crée le 09.08.2017 à 23h09 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h23
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    Le ministre français de l'Intérieur Gérard Collomb à Saint-Mandé, près de Paris, le 9 août 2017 STEPHANE DE SAKUTIN-AFP

    Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a dénoncé "un acte délibéré" après qu'une voiture a renversé des militaires de l'opération Sentinelle mercredi matin à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine).

    "Une voiture qui était dans le quartier est arrivée vers le dispositif, elle roulait doucement, à 5 mètres à peu près des militaires, elle a accéléré de manière à pouvoir les percuter. (...) Nous savons que c'est un acte délibéré, ce n'est pas un acte accidentel", a-t-il déclaré devant l'hôpital Bégin à Saint-Mandé (Val-de-Marne), où il a rendu visite à trois des militaires blessés avec la ministre des Armées Florence Parly.

    "L'ensemble du dispositif de sécurité est extrêmement important, il mobilise l'ensemble des acteurs, à la fois la préfecture de police de Paris, la police, la gendarmerie, et donc les uns et les autres seront aujourd'hui à la recherche de la voiture qui a commis cet acte (...) et le fugitif qui est au volant de cette voiture".

    "Ce que nous ont dit les militaires présents ici, c'est qu'effectivement, il leur semblait que c'était un homme seul, mais à l'heure qu'il est nous ne pouvons rien affirmer", a ajouté M. Collomb.

    Les trois militaires à qui les deux ministres ont rendu visite sont "très légèrement blessés", a indiqué Florence Parly, évoquant des "égratignures" et des "chocs musculaires".

    Quant aux trois autres militaires touchés, admis à l'hôpital militaire Percy, à Clamart (Hauts-de-Seine), ils "ne sont pas gravement blessés, comme nous avions pu le croire un peu plus tôt dans la matinée", a-t-elle ajouté, parlant de "nouvelles rassurantes sur leur état".

    C'est, selon le ministre de l'Intérieur, "la sixième fois" que des militaires de l'opération Sentinelle sont pris pour cible depuis les attentats de janvier 2015.

    "Cela veut dire que la menace reste aujourd'hui extrêmement importante et que nos forces de sécurité, nos forces militaires sont toujours prises pour cible", a-t-il affirmé.

    "On voit que les mesures que nous prenons sont absolument nécessaires si nous voulons que nos concitoyens puissent vivre en sécurité", a-t-il aussi dit, mentionnant le projet de loi antiterroriste voulu par le gouvernement pour prendre le relais de l'état d'urgence, qui a été prolongé jusqu'au 1er novembre.

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