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  • © 2017 AFP | Crée le 22.09.2017 à 00h42 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h31
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    Philippe Martinez (c), secrétaire général de la CGT, le 21 septembre 2017 à Paris Patrick KOVARIK-AFP

    Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, a revendiqué jeudi un niveau de mobilisation "équivalent" à celui de la semaine dernière et "plus de débrayages dans les entreprises", au départ de la manifestation parisienne contre la réforme du code du travail.

    Le "niveau de mobilisation est équivalent à la semaine dernière. Il y a beaucoup plus de débrayages dans les entreprises", s'est félicité le numéro un, à l'origine de la mobilisation avec Solidaires, la FSU et l'Unef.

    Le 12 septembre, entre 223.000 et 500.000 personnes ont défilé dans toute la France (chiffres police et CGT).

    Assurant qu'il "y a plusieurs milliers d'arrêts de travail", il a invité le président à écouter "ce qui se passe dans les entreprises".

    M. Martinez n'a toutefois pas donné de nouvelle date de mobilisation, soulignant qu'il souhaitait d'abord en discuter avec les autres grandes confédérations.

    Peu après 14H00 à Paris, plusieurs milliers personnes ont commencé à défiler de Montparnasse direction place d'Italie, sous un nuage de drapeaux CGT, Solidaires et FSU, mais aussi FO et CFE-CGC, dont les centrales n'ont pas appelé à se mobiliser, ont constaté des journalistes de l'AFP.

    Comme le 12 septembre, le secrétaire national du Parti communiste, Pierre Laurent, était présent. Il a mis en avant la présence de "salariés venus de confédérations très différentes et qui sont en train de montrer que la très grande majorité des syndiqués de tous les syndicats sont opposés aux ordonnances".

    Réagissant à la déclaration du chef de l'Etat, selon laquelle "la démocratie, ce n'est pas la rue", M. Laurent a répondu: "qu'il me cite un seul grand progrès social qui ait jamais été obtenu dans l'histoire de notre pays, sans qu'il y ait des mobilisations".

    "Quand on est président de la République, il faut faire preuve d' humilité plutôt que de faire le fanfaron soit devant l'Acropole soit aux Nations Unies", s'est agacé M. Martinez.

    Eric Beynel, porte-parole de Solidaires, qui marchait dans le carré de tête, a de son côté mis en avant un "élargissement" de la mobilisation par la base, notamment chez les syndicats dont les centrales n'appellent pas à manifester, "comme l'Unsa, la CFDT ou la CFE-CGC".

    Il a également invité à un mouvement unitaire pour être éplus fort".

    Parmi les slogans, on pouvait entendre "ça va pêter", "cheminots en colère!" ou encore "qui sème la misère récolte la colère".

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