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  • © 2017 AFP | Crée le 03.10.2017 à 04h05 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h33
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    Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb (C) répond à la presse près du maire de Marseille Jean-Claude Gaudin (G) le 1er octobre 2017 BERTRAND LANGLOIS-AFP

    Une enquête administrative va être menée pour "faire toute la lumière" sur les conditions dans lesquelles l'auteur de l'attaque de dimanche à Marseille avait été remis en liberté, la veille à Lyon, où il avait été placé en garde à vue, a annoncé lundi l'Intérieur.

    Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a décidé de saisir l'Inspection générale de l'administration (IGA), qui devra rendre ses conclusions "sous une semaine", a précisé le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.

    L'homme qui a tué deux jeunes femmes dimanche à la gare de Marseille, un étranger en situation irrégulière détenteur d'un passeport tunisien, avait été interpellé vendredi à Lyon pour vol à l'étalage.

    Il n'avait pas pu être placé en centre de rétention après cette arrestation, car la préfecture du Rhône n'avait pas été en mesure de donner son feu vert, selon des sources proches de l'enquête judiciaire.

    L'une de ses sources a expliqué que "la personne de permanence à la préfecture du Rhône, ayant autorité pour signer l'Obligation de quitter le territoire (OQTF) et le placement en centre de rétention de l'assaillant de Marseille, était absente", ce qui a empêché la procédure d'arriver à son terme.

    Une autre source proche du dossier a cependant fait valoir auprès de l'AFP qu'il y avait "un problème de disponibilité de places en rétention le samedi matin".

    Selon l'Intérieur, l'enquête de l'IGA "vise à faire toute la lumière sur l'action des services de l'Etat et à être en mesure d'en tirer, si nécessaire, les enseignements".

    Le meurtrier était connu depuis 2005 par les services de police, sous sept identités différentes pour des faits de droit commun, a indiqué le procureur de la République de Paris François Molins.

    Selon une source proche du dossier, l'homme, qui a déclaré être entré en France en 2003, avait déjà fait l'objet en 2005 d'un arrêté de reconduite à la frontière par le préfet du Var, avant d'être remis en liberté au bout de deux jours, en raison du manque de places en centre de rétention administrative (CRA) et faute de document d'identité.

    Il a ensuite séjourné en Italie où, de 2009 à 2017, il a bénéficié d'un titre de séjour, avant que celui-ci n'expire en janvier. Il en avait demandé le renouvellement.

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