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  • © 2016 AFP | Crée le 18.05.2016 à 00h11 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h12
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    Manifestation contre la loi travail, le 17 mai 2016 à Paris

    Plusieurs milliers de personnes rassemblées place de l'École militaire à Paris ont commencé à défiler dans le calme en direction de Sèvres-Babylone peu avant 14H30 mardi, manifestant une nouvelle fois contre le projet de loi travail.

    Nombreux membres des services d'ordre des syndicats, carré de tête du cortège précédé d'un carré de CRS, sacs à dos systématiquement fouillés: les mesures de sécurité étaient au rendez-vous, ont constaté des journalistes de l'AFP.

    Avant le départ, les rues aux alentours de l'École militaire avaient été bouclées.

    Les manifestants, des jeunes et des salariés arborant souvent les couleurs d'un des sept syndicats ayant appelé à cette sixième journée d'action (CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef, UNL et Fidl) fustigeaient la loi travail et le gouvernement: "Non à la casse du Code du travail, retrait du projet de loi", "49-3: Honte à toi Valls, PS de droite".

    "Ce que le pouvoir fait, la rue veut défaire ", scandaient-ils aussi.

    "Le mot d'ordre est plus que jamais le retrait. C'est la colonne vertébrale du texte qui est mauvaise et qui organise le dumping social", a répété le numéro un de la CGT, Philippe Martinez, devant des journalistes.

    "La mobilisation se mesure aussi dans les entreprises. Aujourd'hui, on assiste à une généralisation de la grève. Et c'est une bonne chose (...) On n'a pas été entendus, donc on va se faire entendre encore plus fort", a-t-il dit.

    "On ne se fait d'illusion, mais cette semaine est déterminante en termes de mobilisation des salariés. Personne ne peut dire s'il n'y aura pas de retrait. Hollande a redit ce matin sa détermination, mais sa majorité est très ébranlée", a de son côté affirmé Cécile Gondard-Lalanne, porte-parole de Solidaires à l'AFP.

    "Semaine décisive" aussi pour Bernadette Groison, secrétaire générale de la FSU, qui a pressé le gouvernement "d'accepter de discuter" car "c'est la seule issue".

    "Ce (mardi) matin (sur la radio Europe 1), François Hollande, je l'ai trouvé hors du monde, droit dans ses bottes. Parier sur le pourrissement, sur le 49-3, ce n'est que remettre le problème à plus tard. Le gouvernement veut gagner du temps, mais il est en train d'en perdre", a-t-elle lancé.

    François Hollande a répété mardi matin sur Europe 1 sa détermination. "Je ne céderai pas", cette loi "va passer", a-t-il dit.

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