azerty

azerty

qwerty

qwerty

  • © 2016 AFP | Crée le 11.05.2016 à 21h40 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h11
    Imprimer
    afp_journal
    Le président François Hollande et Manuel Valls à l'Elysée le 11 mai 2016

    François Hollande a estimé mercredi en conseil des ministres que le recours au 49-3 pour la loi travail "convenait" dès lors qu'une "minorité" de parlementaires "bloquait" son adoption, selon le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll.

    Le président Hollande a déclaré que cette décision "convenait dès lors qu'il y avait une minorité qui bloquait l'adoption de cette loi malgré les propositions de compromis qui avaient été faites", a-t-il déclaré lors de son compte rendu hebdomadaire du conseil des ministres.

    Une partie des "frondeurs" du PS ont maintenu leur opposition à la loi travail mardi matin après une réunion à Matignon avec Manuel Valls, ce qui a conduit l'exécutif à recourir au 49-3.

    Stéphane Le Foll a assuré que "l'ambiance" lors du conseil des ministres avait été "tout à fait sereine".

    "Il faut, a dit le président de la République, rappeler que cette loi vise à la fois à conforter les droits des salariés", a-t-il poursuivi, évoquant "en particulier le Compte personnel d'activité et la négociation dans l'entreprise (...) avec les syndicats".

    "C'est important dans un moment où l'on a pour objectif, en même temps que l'on garantit des droits pour les salariés d'offrir aussi les souplesses nécessaires aux entreprises pour qu'elle embauchent et en particulier en CDI", a-t-il insisté.

    "C'est l'objectif qui est celui de cette loi et il y aura à partir de là une discussion demain à l'Assemblée nationale sur une motion de censure", a-t-il rappelé.

    François Hollande, a-t-il ajouté, a également indiqué en conseil des ministres qu'il était "déterminé à défendre ce projet de loi, à l'expliquer" et "qu'il allait se mobiliser" pour le défendre.

    "C'est toujours regrettable de ne pas pouvoir trouver un accord", a-t-il cependant concédé, interrogé sur le recours au 49-3.

    Quant à l'hypothèse d'un ralliement de frondeurs PS à la motion de censure déposée par la droite, ce serait, selon lui, "incompréhensible" et aurait "sûrement des conséquences" même s'il appartiendrait au Parti socialiste d'en décider.

    "Je ne pense pas qu'il y ait de risque, je ne le crois pas et surtout je ne le souhaite pas", a-t-il cependant observé.

    MERCI DE VOUS IDENTIFIER
    X

    Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.

    J'AI DÉJA UN COMPTE
    Saisissez votre nom d'utilisateur pour LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes
    Saisissez le mot de passe correspondant à votre nom d'utilisateur.
    JE N'AI PAS DE COMPTE

    Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ?
    Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement.
  • VOS RÉACTIONS
    Contenus Locaux Sponsorisés










rigthbanner

rigthbanner