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  • © 2016 AFP | Crée le 18.04.2016 à 04h54 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h09
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    Patrick Salameh, ici escorté le 19 novembre 2008 à Marseille par des enquêteurs de la police lors d'investigations, a été condamné à deux reprises à perpétuité pour les meurtres de quatre femmes à Marseille ANNE-CHRISTINE POUJOULAT-AFP/Archives

    Le tueur en série Patrick Salameh comparaît à partir de lundi en appel devant la Cour d'assises du Var, après avoir été condamné à deux reprises à perpétuité pour les meurtres de quatre femmes à Marseille.

    Fatima, une lycéenne marseillaise, puis trois prostituées, Iryna, une Ukrainienne de 42 ans, Cristina, une Roumaine de 23 ans, et Zined, une Algérienne de 28 ans: les corps des victimes présumées de Salameh, toutes disparues en 2008, n'ont jamais été retrouvés.

    Pour ces disparitions, jugées lors de deux procès en avril 2014 et en octobre 2015, Salameh a été condamné, à deux reprises, à la peine la plus lourde du code pénal: la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une période de sûreté 22 ans.

    Pour le procès en appel, devant la Cour d'assises du Var à Draguignan, les deux dossiers ont été joints. Salameh se voit également reprocher la séquestration et le viol d'une quatrième prostituée, qui a survécu.

    En première instance, Patrick Salameh avait été décrit par le ministère public comme l'un des plus grands tueurs en série français, un "prédateur sexuel machiavélique", "nuisible pour la société".

    "Avec son arrestation", c'est un coup d'arrêt à l'"un des grands souffles criminels du début du XXIe siècle", avait souligné l'avocat général, lors du procès pour la disparition des trois prostituées.

    Sa première victime présumée, Fatima Saiah, une lycéenne de 20 ans, a disparu le 7 mai 2008 à Marseille et n'a pas donné signe de vie depuis. Elle s'était rendue le jour de sa disparition à un rendez-vous fixé depuis une cabine téléphonique par un homme qui lui avait proposé de faire du baby-sitting.

    Près de deux heures après le rendez-vous, son petit ami qui l'avait accompagnée jusqu'à une station de métro à proximité du lieu, avait reçu un dernier texto: "J'ai rencontré une ancienne copine, je serai de retour ce week-end". La jeune fille n'est jamais revenue.

    Plusieurs mois plus tard, les enquêteurs avaient fait le rapprochement avec les disparitions, en octobre 2008, de trois prostituées, elles aussi contactées depuis des cabines téléphoniques pour des rendez-vous.

    Lors de ses procès en première instance, Patrick Salameh a nié l'ensemble des faits qui lui étaient reprochés. Le procès doit se tenir du 18 avril au 20 mai.

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