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  • © 2017 AFP | Crée le 20.12.2017 à 04h14 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h56
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    Le taux de chômage en France devrait reprendre sa baisse, selon l'Insee PHILIPPE HUGUEN-AFP/Archives

    Après une hausse au 3e trimestre, le taux de chômage devrait reprendre sa baisse, selon des prévisions publiées mardi par l'Insee, qui voit l'indicateur descendre de 9,7% à 9,4% de la population active en France entière d'ici à mi-2018.

    Après avoir reculé à 9,5% mi-2017, soit son plus bas niveau depuis début 2012, le taux de chômage, mesuré par l'Institut national de la statistique selon les normes du Bureau international du travail (BIT), est remonté à 9,7% au 3e trimestre.

    Selon l'Insee, il devrait redescendre à 9,5% au 4e trimestre 2017, puis à 9,4% au 2e trimestre 2018.

    Ces légères baisses seraient dues à des créations nettes d'emplois plus nombreuses que l'augmentation de la population active: à horizon mi-2018, la population active devrait augmenter de 21.000 personnes, alors que quelque 98.000 emplois seraient créés sur la même période.

    Dans le détail, l'Insee prévoit 160.000 postes salariés de plus dans le secteur marchand non agricole, 6.000 dans le secteur agricole et 3.000 non-salariés supplémentaires. "Les chefs d'entreprise demeurent optimistes sur l'évolution de leurs effectifs, en lien avec une croissance de l'activité qui resterait soutenue", analyse l'Institut, qui s'attend à une croissance de 1,9% en l'année 2017.

    Mais il prévoit, dans le même temps, 68.000 destructions de postes dans le secteur non marchand (fonction publique, associations...), "du fait de la nette diminution du nombre de contrats aidés".

    Le gouvernement d'Edouard Philippe a décidé cet été de réduire les prescriptions de contrats aidés, limitant les nouveaux contrats à 310.000 en 2017, après 459.000 en 2016. Seulement 200.000 signatures sont prévues en 2018.

    L'Insee tire, par ailleurs, un premier bilan de la prime à l'embauche dans les PME, créée début 2016 et supprimée mi-2017. Ce dispositif offrait une aide de 4.000 euros maximum sur deux ans aux entreprises de moins de 250 salariés qui embauchaient en CDI ou en CDD de plus de 6 mois un salarié payé jusqu'à 1,3 fois le Smic.

    "En 18 mois, 1,6 million de primes à l'embauche ont été attribuées", indique l'Insee.

    Mais en net, si "la prime à l'embauche semble bien, à elle seule, avoir incité les PME à embaucher davantage que les autres entreprises", "cet effet est resté assez limité", estime l'Insee. Selon lui, elle n'aurait permis qu'un surplus "d'environ 10.000 emplois en six trimestres".

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