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  • © 2016 AFP | Crée le 25.04.2016 à 18h49 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h09
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    Des journalistes autour d'une Mercedes Benz E-Class le 24 avril 2015 au salon automobile de Pékin FRED DUFOUR-AFP

    Le salon automobile de Pékin, vitrine du premier marché automobile mondial, a ouvert ses portes lundi, constructeurs étrangers et chinois rivalisant de nouveaux modèles pour séduire des acheteurs de plus en plus exigeants.

    Dès le début de la matinée, des milliers de professionnels et de journalistes ont convergé vers le grand centre des expositions situé près de l'aéroport international, dans le nord-est de la capitale chinoise.

    Dans huit immenses pavillons et une dizaine d'autres plus petits, constructeurs d'automobiles, de camions et équipementiers exposent leurs produits à grand renfort d'écrans géants et de sonorisations tonitruantes.

    Parti de quasiment rien il y a une génération, le marché automobile chinois domine depuis le début des années 2010 le classement mondial en volume. Il a absorbé 24,6 millions de véhicules neufs l'année dernière, presque deux fois plus que l'Union européenne.

    Après des années de croissance effrénée, le marché semble toutefois entrer dans une phase de maturation, avec une progression qui n'a atteint que 4,7% l'année dernière alors que l'activité économique chinoise montrait des signes d'essoufflement.

    Malgré tout, experts et constructeurs se veulent optimistes, tablant sur la poursuite de la croissance étant donné le toujours faible taux d'équipement, un peu plus de 100 voitures pour 1.000 habitants contre 600 pour 1.000 dans l'UE.

    Pour aller chercher des volumes, il faut aussi désormais séduire les consommateurs des villes de l'intérieur, et non plus seulement ceux des prospères et embouteillées villes côtières.

    Les constructeurs chinois, peu connus en dehors de leurs frontières (Changan, Great Wall, BAIC...) ont profité de cette mutation de la demande grâce à des 4x4 urbains bon marché et commencé à grignoter les parts de marché des fabricants étrangers, qui sont tenus de s'associer en coentreprise avec des sociétés chinoises.

    L'enjeu pour les étrangers, alors que se profile une "guerre des prix" selon le patron de PSA Carlos Tavares, est désormais de protéger leurs marges historiquement élevées.

    Pour coller aux goûts du public, les co-entreprises développent des versions spécifiques. Citroën devait dévoiler lundi une luxueuse C6 de près de cinq mètres de long, héritière des "reines de la route" DS, CX ou XM, mais qui restera réservée aux Chinois.

    La marque aux chevrons expose aussi une voiture électrique dérivée de sa berline moyenne C-Elysée, reflet de l'insistance des autorités à promouvoir les véhicules "zéro émission". Cette niche ne représente qu'environ 1% du marché mais a quadruplé l'année dernière.

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