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  • P. Ch. avec J.-A. G.-L. | Crée le 12.06.2017 à 14h06 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h13
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    Les nombreuses victimes de cet escroc présumé sont venues assister à l’audience, ce lundi après-midi, devant le tribunal correctionnel de Nouméa. Photo J.-A. G.-L.

    [ACTUALISATION 15h20]

    L’examen de cette affaire, complexe par le nombre de victimes, a été renvoyé au 5 septembre prochain. La raison : l’avocat commis d’office pour assurer la défense du prévenu n'a pas eu le temps d’examiner le dossier.

    En attendant, cet escroc présumé reste placé en détention provisoire au Camp Est. Les juges ont justifié cette décision pour trois raisons :

    Le prévenu ne présente pas, selon la formule consacrée, « toutes les garanties de représentation » (en clair, il peut prendre la fuite et se soustraire à la justice).

    Le tribunal veut éviter le renouvellement des faits.

    Les juges souhaitent protéger l’intégrité physique de cet homme qui a fait l’objet de nombreuses menaces.

    [14 heures]

    Depuis 13 h 30 ce lundi après-midi, les juges du tribunal correctionnel de Nouméa ont entamé l’examen de plusieurs dossiers dans lesquels doit être jugé un escroc présumé de 43 ans.

    Les enquêteurs de la brigade financière de la police nationale ont évalué le préjudice total causé par les agissements de ce beau parleur à un milliard de CFP.

    Pour arnaquer ses victimes qui leur confiaient leur argent, l’homme prétendait leur procurer des intérêts surréalistes de 50 %.

    En plus de s’improviser banquier, l’homme vendait aussi des biens immobiliers… qui ne lui appartenaient pas.

    Il remboursait certaines de ses victimes avec l’argent que lui confiaient d’autres. L’homme était également accro au jeu et dépensait beaucoup d’argent au casino.

    Sur le papier, le prévenu doit être jugé pour « abus frauduleux de l’ignorance ou de la faiblesse d’une personne en état de sujétion psychologique ou physique résultant de pression ou technique de nature à altérer le jugement » et « abus de confiance ». Les faits les plus anciens remontent à 2011, les plus récents à l’année dernière. L’homme est en détention provisoire depuis le début du mois d’avril 2017.

    Parmi ses victimes figurent des entreprises de maçonnerie, de location de matériel de chantier ou de voitures, des agences immobilières, des traiteurs, des entrepreneurs et des particuliers comme des membres de sa famille mais également un syndicaliste bien connu, deux banques et un établissement public intervenant dans le domaine des télécoms…

    Compte-rendu d’audience complet à lire dans votre édition de demain mardi, en pages Pays.

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