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  • | Crée le 12.05.2016 à 14h11 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h24
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    (Photo AFP)

     

    Le Premier ministre australien Malcolm Turnbull est cité dans les « Panama Papers », comme ancien directeur d’une société offshore.

    C’est l’Australian Financial Review qui a révélé cette information ce jeudi.

    Malcolm Turnbull est un ancien banquier multimillionnaire et fut directeur pendant deux ans au début des années 1990 de Star Technology Service Limited, enregistrée aux Iles vierges britanniques par le cabinet panaméen Mossack Fonseca.

    Recourir à l’offshore n’est pas illégal en soi et le Premier ministre a démenti tout comportement inapproprié.

    « Puis-je simplement vous dire que, ainsi que le reconnaît l’article, il n’y a eu absolument aucune irrégularité », a-t-il dit à la presse à Melbourne, où il était en campagne en vue des législatives anticipées du 2 juillet qui s’annoncent serrées.

    « La société en question était une filiale d’une société cotée en Australie », a-t-il ajouté.

    D’après l’Australian Financial Review, M. Turnbull ainsi que l’ancien Premier ministre de Nouvelle-Galles du Sud Neville Wran étaient entrés au conseil d’administration de la société en octobre 1993, en vue de développer une mine d’or sibérienne appelée Sukhoi Log.

    Les deux hommes avaient démissionné en 1995 et la compagnie avait fait faillite en 1998.

    Interrogé par les journalistes pour savoir si la société avait jamais payé d’impôts en Australie, M. Turnbull a répondu qu’elle l’aurait fait si elle avait fait des bénéfices.

    Ces révélations n’incriminent pas le Premier ministre mais augmentent la pression qui pèse sur lui alors que les sondages annoncent une lutte serrée entre le gouvernement conservateur sortant et l’opposition travailliste emmenée par Bill Shorten pour les élections législatives de juillet.

    Les « Panama Papers » ont alimenté une cascade de révélations sur l’évasion fiscale.

    La mise en ligne d’environ 200.000 documents des « Panama Papers » sur le site du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) a provoqué l’ouverture de nombreuses enquêtes dans le monde et conduit le Premier ministre islandais et un ministre espagnol à la démission.

     

    Avec AFP

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