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  • © 2017 AFP | Crée le 23.09.2017 à 02h26 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h32
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    La ministre des Sports Laura Flessel (g), lors de la visite de Thomas Bach (c) sur le site de la voile aux JO-2024, le 21 septembre 2017 à Marseille JEAN-PAUL PELISSIER-POOL/AFP

    La ministre des Sports Laura Flessel s'est défendue vendredi d'avoir envisagé un "boycott" des prochains JO d'hiver en Corée du Sud, après avoir évoqué la veille l'éventualité que l'équipe de France n'y participe pas si la "sécurité" n'était pas "affirmée".

    "En ce qui concerne l'évolution du monde, nous, nous veillons. En revanche, eux (les sportifs), ils se préparent pour les Jeux", a déclaré la ministre lors d'une visite à l’Autorité de régulation des jeux en ligne française (Arjel).

    Après l'escalade verbale entre Pyongyang et Washington montée d'un cran ces derniers jours, la ministre avait expliqué jeudi sur RTL qu''"on ne mettra jamais dans l'insécurité notre équipe de France" : "si ça s'envenime et qu'on n'arrive pas à avoir une sécurité affirmée, notre équipe de France resterait ici".

    Donald Trump a notamment menacé la Corée du Nord de "destruction totale" et qualifié de "fou" Kim Jong-Un au moment où le régime a évoqué un possible essai de bombe H dans le Pacifique.

    Les jeux Olympiques d'hiver 2018 sont programmés du 9 au 25 février à Pyeongchang, à quelque 80 km de la frontière avec la Corée du Nord.

    Interrogée sur ses propos de la veille, Laura Flessel a assuré qu'elle n'avait jamais évoqué de "boycott" : "En général, ce sont toujours les journalistes qui parlent de boycott avant les Jeux".

    "Mon rôle, c'est de préserver, de protéger cette équipe de France", a-t-elle affirmé, ajoutant "aujourd'hui, notre équipe de France s'entraîne pour aller chercher le Graal olympique. Ce que je vous demande c'est de la laisser s'entraîner de manière sereine".

    Lors de sa visite, la ministre a par ailleurs évoqué son objectif de convaincre de nouveaux pays d'adhérer à la convention contre la manipulation des compétitions sportives, et d'élargir la coopération internationale pour lutter contre les paris sportifs truqués et garantir l'intégrité des sports.

    Seize pays sont actuellement membres de la "convention de Macolin" : l'Allemagne, l'Arménie, l'Azerbaïdjan, la Bulgarie, le Danemark, la Finlande, la France, la Géorgie, la Grèce, la Lituanie, le Monténégro, la Norvège, les Pays-Bas, la Fédération de Russie, la Serbie et la Suisse.

    La ministre voudrait ainsi voir "40 pays signataires" avant les JO de Tokyo en 2020 et 80 pays pour Paris 2024.

    "Notre objectif, c'est d'aller chercher d'autres pays, de partager cette vision d'un sport éthique", a-t-elle dit.

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