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  • | Crée le 13.04.2017 à 09h16 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h01
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    Samuel Moekia, en état d’évasion depuis le 24 novembre 2015 (à gauche) et Pascal Gnibekan sont activement recherchés par les gendarmes. Le parquet vient de rendre public un avis de recherche. Photo DR

    Le parquet de Nouméa invite les deux suspects à se rendre et demande à « toute personne qui disposerait de renseignements sur ces criminels à contacter sans délai la gendarmerie en composant le 17 ».

    Dans un communiqué diffusé ce jeudi matin, le procureur de la République, Alexis Bouroz, indique que les gendarmes ont interpellé la nuit dernière « un jeune homme défavorablement connu ». Ce denier est soupçonné d'avoir participé aux exactions commises aux abords des tribus de Saint-Louis (Mont-Dore) et de Bangou (Païta) entre le 29 octobre 2016 et le 29 janvier 2017.

    Mais deux fugitifs sont toujours recherchés, soupçonnés de « tentatives de meurtre et d'assassinat en bande organisés », selon la prévention retenue par le parquet, qui a décidé de rendre public leur identité et de lancer un appel à témoin.

    Il s'agit de Samuel Moekia, en état d'évasion depuis le 24 novembre 2015
 et  de Pascal Gnibekan.

    « Ces individus dangereux et susceptibles d'être armés sont réfugiés en tribu de Saint-Louis où ils reçoivent manifestement le soutien de certains proches, entravant ainsi l'action de la Justice et des forces de l'ordre », précise Alexis Bouroz, qui tient du coup à rappeler que des poursuites peuvent être engagées à celles ou ceux qui viennent en aide aux fugitifs, « de quelque manière que ce soit, logement, transport, alimentation, prêt de téléphone ».

    Cette aide « constitue le délit de recel de malfaiteur,  punissable de trois ans d'emprisonnement et de 5 millions de CFP d'amende. Ces peines sont portées à 5 ans et 9 millions CFP d'amende lorsque l'infraction est commise de manière habituelle. S'agissant de Samuel Moekia, la complicité d'évasion pourra également être retenue », précise Alexis Bouroz.

    Cela porte à 73 le nombre de personnes interpellées au cours des nombreuses opérations de police judiciaire menées par la gendarmerie, rappelle le parquet.

    Sur les 42 personnes mises en examen, 16 ont été incarcérées et 17 placées sous contrôle judiciaire.

    Plus d'informations à lire dans votre édition de demain vendredi.

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