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  • © 2018 AFP | Crée le 03.02.2018 à 03h07 | Mis à jour le 05.08.2020 à 08h04
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    Des pompiers sur le site du crash de deux hélicoptères de l'armée française au sud du lac de Carcès près de Brignoles en France le 2 février 2018 Anne-Christine POUJOULAT -AFP

    "L'hypothèse de travail est celle d'une collision entre les deux appareils", a déclaré le procureur de Marseille vendredi, après la mort de cinq militaires dans le crash de leurs deux hélicoptères dans la matinée, dans le Var, à une cinquantaine de kilomètres de Saint-Tropez.

    Précisant que les deux Gazelle de l'Ecole de l'aviation légère de l'armée de terre (EALAT) du Cannet-des-Maures n'étaient pas équipés de boîte noire, Xavier Tarabeux, le procureur de Marseille, a ajouté que l'hypothèse d'une collision des appareils avec une ligne haute tension était par contre "exclue".

    Si la collision en vol est privilégiée, "compte tenu des premiers éléments", le lieu exact et la raison de cette collision sont par contre inconnus, a ajouté le procureur de Marseille, lors d'un point presse improvisé, aux côtés de la ministre des Armées Florence Parly, sur le tarmac de l'EALAT, devant un hangar déserté par le personnel et dans un silence de plomb.

    Xavier Tarabeux a précisé que les deux appareils s'étaient écrasés à 600 m de distance, l'un sur la départementale D24, l'autre dans un bois, et que "les pilotes étaient expérimentés, y compris les stagiaires à bord".

    Selon l'adjoint au général commandant l'EALAT, ce sont deux instructeurs, avec une grande expérience, de 3.000 à 5.000 heures de vol, qui étaient aux commandes des deux appareils. "Je ne crois pas que ce soit une erreur de pilotage, peut-être une erreur d'inattention, ou un problème mécanique", avait-il déclaré plus tôt à l'AFP, juste avant ce point-presse.

    L'accident a eu lieu près du lac de Carcès, sur le territoire de la commune de Carcès, entre 08H30 et 08H45, a précisé le procureur, très peu de temps donc après leur décollage, vers 08H30, alors que l'exercice prévu n'avait pas encore débuté.

    Aucun des cinq militaires à bord, trois instructeurs et deux stagiaires, n'a survécu à l'accident.

    L'enquête a été confiée au parquet de Marseille, compétent via son pôle chargé des affaires militaires, et elle est menée par la section de recherches de la gendarmerie de l'air. Le Bureau enquête accident Défense est également saisi, a précisé M. Tarabeux.

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