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  • © 2017 AFP | Crée le 14.08.2017 à 01h45 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h24
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    Des manifestants, rassemblées devant deux villas construites sur un site protégé par Pierre Ferracci, PDG du groupe Alpha, protestent contre la décision du tribunal de Bastia d'épargner les constructions et demandent leur démolition, le 13 août 2017 PASCAL POCHARD-CASABIANCA-AFP

    Environ 150 personnes se sont rassemblées dimanche devant deux villas construites sur le site protégé de la plage de la Rondinara, près de Bonifacio (Corse-du-Sud), par Pierre Ferracci, PDG du groupe Alpha, condamné à un million d'euros pour travaux hors permis de construire, ont constaté des journalistes de l'AFP.

    Les personnes rassemblées vers midi ont emprunté une piste en terre pendant une trentaine de minutes pour arriver à apercevoir les deux villas.

    "Le préfet, le procureur, le tribunal, l'opinion ont déclaré illégales ces constructions, pourtant elles sont encore là (...), comme une injure à tous les Corses", a déclaré Maxime Susini, membre de l'association de défense de l'environnement U Levante.

    "Ces constructions doivent disparaître afin que le site soit remis dans son état originel. Pour cela, nous demandons que M. Ferracci soit exempté du paiement de l'amende d'un million d'euros. Nous n'en faisons pas une question d'argent", a-t-il ajouté, précisant que le rassemblement s'effectuait "à l'appel du seul Collectif pour le respect de la loi et la démolition des villas de A Rundinara".

    Le 5 juillet, la cour d'appel de Bastia a confirmé une condamnation, à l'encontre de SCI Tour de Sponsaglia, dont est gérant M. Ferracci, par ailleurs président du Paris Football Club et proche du président de la République Emmanuel Macron, reconnu coupable d'avoir construit deux villas hors permis de construire.

    La justice n'a pas ordonné la démolition des deux bâtisses, au grand dam d'associations dont U Levante, qui ont saisi la cour de Cassation.

    Suite à un autre rassemblement demandant la démolition des villas fin juillet à Vizzavone (Haute-Corse), M. Ferracci avait déclaré à l'AFP ne pas comprendre "cet acharnement".

    "J'ai reconnu avoir modifié un permis, qui était totalement légal, et j'ai été condamné à une lourde peine d'amende, d'un million d'euros, que je n'ai pas contestée", avait-il précisé.

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