azerty

azerty

qwerty

qwerty

  • © 2017 AFP | Crée le 11.09.2017 à 18h37 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h29
    Imprimer
    afp_journal
    Le pape visite l'église jésuite Saint-Pierre-Claver à Carthagène le 10 septembre 2017, sur une photo fournie par l'Osservatore Romano HO-OSSERVATORE ROMANO/AFP

    Un "gnon", la nonne rappeuse qui n'a pas pu chanter et un nouvel appel pour le Venezuela ont marqué la dernière étape à Carthagène des Indes de la visite du pape François en Colombie.

    - Venezuela: oui, mais non -

    Gabriel Lugo attend assis le début de la dernière messe du pape. Une casquette aux couleurs du drapeau du Venezuela vissée sur la tête, pour se protéger de l'implacable soleil de la caribéenne Carthagène.

    Ce cardiologue vénézuélien de 37 ans a quitté son pays il y a un an et demi à cause de la crise économique et politique, pour laquelle François a réclamé dimanche une "solution".

    "Le message du pape aide beaucoup d'entre nous parce que c'est un pilier idéologique et spirituel. Mais je crois que la médiation de l'Eglise au Venezuela devrait se limiter à favoriser la paix et la réconciliation", a-t-il déclaré à l'AFP.

    Pour M. Lugo, l'un des plus de 300.000 Vénézuéliens vivant en Colombie, nombre d'entre eux ayant fui les pénuries et la violence, la crise "doit être résolue par les politiques".

    - Un "gnon" pontifical -

    "J'ai reçu un gnon", a déclaré le pape aux journalistes. Il ne s'agissait pas d'un crochet du droit du boxeur colombien Antonio Cervantes "Kid Pambelé", ni d'une altercation avec un fidèle.

    François, 80 ans, s'est cogné contre la paroi vitrée de sa papamobile. Il s'en est tiré avec un hématome, une arcade sourcilière entaillée et sa tunique blanche tachée de sang.

    En parcourant le quartier pauvre de San Francisco, la camionnette blanche, l'une des trois fabriquées en Colombie pour la visite du pape, a brusquement freiné, faisant perdre l'équilibre au souverain pontife.

    Un des agents de la sécurité du Vatican l'a aidé à se redresser et a nettoyé le sang de son visage avec un mouchoir blanc, sans que la papamobile ne s'arrête.

    "Le pape va bien (...) On lui a mis de la glace et on l'a soigné", a déclaré le porte-parole du Saint-Siège, Greg Burke. François a quitté la Colombie souriant, mais avec un oeil au beurre noir.

    - Le rap que le pape n'a pas entendu -

    Soeur Maria Valentina de los Angeles rêvait de chanter pour François. Connue comme la "nonne rappeuse" en raison de son goût et son aptitude pour ce style de musique urbaine, elle avait gagné le concours de l'hymne officiel de la visite, avec un groupe de musiciens catholiques.

    Ils devaient chanter "Demos el primer paso" ("Faisons le premier pas"), mélange de pop et de vallenato colombien typique, lors de tous les événements auxquels a participé le pape, et accompagner son voyage dans quatre villes du pays.

    Mais la chanson, qui inclut une strophe de rap de soeur Maria Valentina, n'a finalement été entendue que par haut-parleurs, a confirmé à l'AFP une source de la Conférence épiscopale, organisatrice du concours, sans préciser pourquoi.

    MERCI DE VOUS IDENTIFIER
    X

    Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.

    J'AI DÉJA UN COMPTE
    Saisissez votre nom d'utilisateur pour LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes
    Saisissez le mot de passe correspondant à votre nom d'utilisateur.
    JE N'AI PAS DE COMPTE

    Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ?
    Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement.
  • VOS RÉACTIONS
    Contenus Locaux Sponsorisés










rigthbanner

rigthbanner