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  • © 2016 AFP | Crée le 18.06.2016 à 05h44 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h15
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    Le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadelis, lors d'une conférence de presse le 2 mai 2016 à Paris

    Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis va proposer au Conseil national du parti, qui se réunit samedi, l'organisation d'une primaire ouverte de la gauche de gouvernement en vue de la présidentielle de 2017, a-t-il annoncé à l'AFP vendredi soir.

    "J'ai décidé de soumettre au Conseil national du PS une primaire ouverte à la Belle Alliance populaire (NDLR: PS, PRG et écologistes progouvernement), si la primaire de toute la gauche est impossible", a indiqué M. Cambadélis.

    Cette primaire, qui reprendrait donc le format de celle organisée en 2012, pourrait se dérouler "les deux derniers week-ends de janvier 2017, si la primaire de toute la gauche était impossible en décembre", a-t-il précisé.

    M. Cambadélis a envoyé à 20H00 un SMS à tous les militants du PS pour les informer de sa décision.

    Selon des proches du président François Hollande, celui-ci est prêt à se soumettre à cet exercice, s'il est candidat.

    "Le président de la République sortant n'est pas n'importe quel compétiteur. Il a de grandes chances d'être le candidat de la gauche", estime M. Cambadélis dans un entretien vendredi soir à Libération publié sur le site internet du quotidien.

    L'aile gauche du parti et des proches du président de la République comme du Premier ministre Manuel Valls poussaient ces derniers jours pour l'organisation d'une primaire, même restreinte au PS et à ses plus proches alliés.

    Proposée en janvier par un collectif d'intellectuels et d'écologistes, l'idée d'une primaire de toute la gauche avait en effet fait long feu: après Jean-Luc Mélenchon, qui avait immédiatement refusé d'y participer, le PCF et EELV l'ont également écartée lors de leurs congrès début juin, ne voulant pas devoir soutenir François Hollande si celui-ci l'emportait.

    "Faire l'impasse (sur 2017) pour spéculer sur une recomposition politique après une défaite programmée et parfois, pour certains, organisée est une faute politique devant l'histoire et la gauche. Cessons la fragmentation et engageons un processus de recomposition. La primaire de toute la gauche pouvait le permettre. On nous a claqué la porte au nez, sans autre considération qu'une volonté punitive du PS", déplore M. Cambadélis .

    "Ce qui m'afflige, c'est que la gauche soit aujourd'hui dans un combat pour départager la gauche de gouvernement de la gauche de contestation. Ce n'est pas à la hauteur des défis qui nous sont posés", ajoute-t-il.

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