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  • © 2017 AFP | Crée le 12.11.2017 à 20h19 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h41
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    Le négociateur en chef de l'UE sur le Brexit, Michel Barnier à Bruxelles, le 10 novembre 2017 EMMANUEL DUNAND-AFP/Archives

    Le négociateur en chef de l'UE sur le Brexit, Michel Barnier, a déclaré dimanche se "préparer" à la "possibilité" qu'aucun accord ne soit trouvé avec Londres même si ce n'est pas le scénario qui a sa faveur.

    "Ce n'est pas mon option, qui serait un retour en arrière de 44 ans (date de l'entrée du Royaume Uni dans l'UE, ndlr). Mais c'est une possibilité", a-t-il dit dans une interview à l'hebdomadaire français Journal du Dimanche.

    "Chacun doit s'y préparer, États comme entreprises – nous-mêmes, nous y préparons techniquement", a-t-il ajouté.

    Sans accord, le Royaume-Uni tombera le 29 mars 2019, date de sa sortie de l'UE, "dans le régime de droit commun de l'Organisation mondiale du commerce, avec des relations semblables à celles que nous entretenons avec la Chine", a-t-il averti.

    L'UE a donné vendredi deux semaines à Londres pour clarifier ses engagements sur les termes du divorce, en faisant une condition pour accepter en décembre l'ouverture des tractations commerciales que Londres réclame avec insistance pour préparer l'après-Brexit.

    "Nous souhaitons aboutir à un accord d'ici à quinze jours ouvrables, en vue du Conseil européen des 14 et 15 décembre", a souligné le négociateur de l'UE.

    "Aujourd’hui, nous n'y sommes pas", a-t-il martelé. "Le rendez-vous sera reporté si les progrès ne sont pas suffisants", a-t-il réaffirmé.

    Londres et Bruxelles divergent notamment sur le moyen d'éviter le retour d'une frontière "dure" avec l'Irlande. "Le conflit tragique entre les protestants et les catholiques n'est pas si lointain (..)Je ne ferai rien qui fragiliserait ce processus de paix", a insisté Michel Barnier.

    Si le délai des 15 jours n'est pas respecté, la perspective des négociations commerciales serait reportée à "février ou mars", lors d'autres sommets programmés à l'agenda européen, selon un haut diplomate de l'UE.

    S'il est respecté, les 28 entameront "dès janvier 2018" les négociations sur leur futur relation qui mettront ensuite "au moins deux ans à aboutir" (accord de libre échange, sécurité intérieure..), a évalué M. Barnier.

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