azerty

azerty

qwerty

qwerty

  • © 2016 AFP | Crée le 13.05.2016 à 01h31 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h11
    Imprimer
    afp_special

    Dilma Rousseff, présidente du Brésil écartée du pouvoir par le Sénat jeudi, a estimé que ce qui était "en jeu" était "le respect des urnes" et de la Constitution, dans sa première déclaration après le vote sénatorial ouvrant son procès en destitution.

    "Ce qui est en jeu, ce n'est pas seulement mon mandat, c'est le respect des urnes, de la souveraineté du peuple brésilien et de la Constitution", a déclaré la chef de l'Etat suspendue, remplacée par son vice-président Michel Temer. Elle a aussi répété qu'elle était victime d'un "coup d'Etat" et d'une "farce juridique et politique", et que son gouvernement avait subi "un intense sabotage".

    MERCI DE VOUS IDENTIFIER
    X

    Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.

    J'AI DÉJA UN COMPTE
    Saisissez votre nom d'utilisateur pour LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes
    Saisissez le mot de passe correspondant à votre nom d'utilisateur.
    JE N'AI PAS DE COMPTE

    Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ?
    Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement.
  • VOS RÉACTIONS
    Contenus Locaux Sponsorisés










rigthbanner

rigthbanner