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  • © 2016 AFP | Crée le 25.04.2016 à 19h05 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h10
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    Des militaires belges montent la garde, le 25 avril 2016 à la station de métro Maelbeek à Bruxelles, à sa réouverture un mois et trois jours après les attentats jihadistes qui ont frappé la capitale belge, faisant 32 morts et des centaines de blessés JOHN THYS-AFP

    La station de métro Maelbeek, à Bruxelles, où l'un des kamikazes s'est fait exploser le 22 mars, a rouvert lundi matin, après un peu plus d'un mois de travaux.

    Maelbeek, située au coeur du quartier européen, dernière station à rouvrir du réseau du métro bruxellois, fonctionnera dorénavant de 05H30 à minuit et demi, comme l'ensemble des lignes, qui retrouvent également leurs horaires habituels à partir de lundi, alors qu'elles fonctionnaient jusqu'ici selon une plage restreinte (06H00-22H00).

    "Ça fait quand même un peu drôle, il ne faut pas y penser, la vie continue", a expliqué à l'AFP Patrick, 52 ans, l'un des premiers voyageurs à emprunter l'arrêt Maelbeek lundi matin.

    Le 22 mars, à 09H11 (07H11 GMT), un peu plus d'une heure après le double attentat-suicide à l'aéroport de Bruxelles-Zaventem, Khalid El-Bakraoui a déclenché à son tour une explosion dans une rame, où seize personnes ont trouvé la mort.

    Au total, les attentats du 22 mars ont fait 32 victimes et plus de 300 blessés.

    Un bon mois plus tard, la station présentait son visage habituel, avec ses fresques minimalistes --des esquisses de visages noirs sur du carrelage blanc-- et ses panneaux signalétiques.

    Seule différences visible avec la situation d'avant les attentats: la présence de quelques militaires lourdement armés sur les quais et un grand tableau blanc où le public est invité à exprimer ses sentiments.

    "Prenons soin de la vie qui nous entoure", indiquait un message signé "Patricia", alors que quelque 200 victimes et proches de victimes ont pu samedi visiter la station, spécialement ouverte pour eux deux jours avant sa remise en service.

    Cette fermeture d'un peu plus d'un mois, "c'était pour de bons motifs", estime Liliana, une ingénieure en médecine nucléaire rencontrée lundi matin sur le quai du métro. "Je peux comprendre qu'il faut pouvoir analyser, régler tous les dégâts, je peux comprendre tout ça", a-t-elle ajouté.

    "Maintenant, je me sens tranquille, car je sais qu'ils ont pris toutes les mesures nécessaires et je vois que c'est bien sécurisé", estimait quant à lui un autre passager, Pietro, traducteur à la retraite.

    "Je pense à tout ce qui est arrivé, (...) Je prie pour toutes les victimes et j'espère que ça ne se reproduira pas", ajoute Pietro, qui a longtemps travaillé pour la Commission européenne, située à deux pas.

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