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  • | Crée le 14.11.2015 à 10h55 | Mis à jour le 05.08.2020 à 06h23
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    Le groupe Etat islamique a revendiqué les attentats (photo capture d'écran)

     

    MAJ à 22H25.

    Le groupe terroriste Daech a revendiqué officiellement les attaques simultanées survenus à Paris dans un communiqué et dans un message audio publié sur internet. Dans leur message, le groupe Etat islamique déclare que c'est une attaque de "croyants de soldats du Califat". Les terroristes parlent "d'endroits choisis minutieusement": "le stade de France lors du match (...) auquel assistait l'imbécile de François Hollande. Le Bataclan où étaient rassemblés des centaines d'idolâtres dans une fête de perversité". 

     

     

     

     

    Un enfant se recueille devant la mairie de Nouméa, samedi soir, après les attentats à Paris. (photo Jean-Alexis Gallien-Lamarche)

    Un enfant dépose une bougie devant la mairie de Nouméa samedi soir en mémoire aux victimes de l'attentat. (photo Jean-Alexis Gallien-Lamarche)

     

     

     

    MAJ à 21H17.

     

    Moment de recueillement à Nouméa, samedi soir.

    Des dizaines de personnes se sont rassemblées dans le silence devant la mairie de Nouméa, samedi aux alentours de 20 heures, en solidarité aux familles touchées par les attaques terroristes de vendredi soir à Paris. Les participants de ce rassemblement ont déposé de nombreuses bougies en hommages aux victimes des attentats. Beaucoup d'entre eux ont aussi écrit des messages de soutien. 

     

    "Je suis encore sous le choc. C'est effroyable ce qui s'est passé", témoigne Laure. "Comment peut-on arriver à de tels actes barbares?, se demande Philippe qui a voulu "montrer que même très loin de la métropole, on était de tout coeur avec les proches des victimes"

     

     

    MAJ à 18h53.

     

    Selon une journaliste des Nouvelles-Calédoniennes, la municipalité de Nouméa appelle à un rassemblement ce soir à 20 heures en hommage aux victimes des attaques terroristes. Cette décision fait suite au rassemblement du conseil municipal de Nouméa qui a eu lieu samedi en début de soirée.

    La façade de la mairie de Nouméa est actuellement éclairée en bleu blanc rouge. 

     

    La mairie de Nouméa devrait aussi organiser une marche ou un rassemblement ce dimanche.

     

     

    (capture d'écran BFM TV)

     

     

     

    MAJ à 18h20.

     

    Le dernier bilan, très lourd, est encore incertain. Mais il fait état d'au moins 120 personnes tuées et plus de 200 blessées dont 80 dans un état grave. 
     
     
    Les secours sont intervenus toute la nuit. Des médecins psychiatres du Samu du Nord sont arrivés en renfort à la mairie du 11e arrondissement. D'autres provenant de Nancy sont aussi en route, selon Le Parisien.
     
     
    Selon des sources proches de l'enquête citées Le Figaro, huit assaillants ont été tués. Ils sont trois à s'être fait exploser aux alentours du Stade de France. Trois à s'être fait exploser à l'intérieur de la salle de spectacle du Bataclan et un quatrième à avoir été tué lors de l'assaut des forces de l'ordre. Un dernier s'est fait exploser boulevard Voltaire.
    Mais impossible de savoir encore si d'autres terroristes sont en fuite ou si tous ont été tués. 
    Selon la chaîne iTELE, les services de renseignement sont à la recherche d'éventuels complices. 
     
     
    Sur BFM TV, un journaliste d'Europe 1, témoin de l'attentat au Bataclan, décrit les terroristes comme "très jeunes""Celui que j'ai vu, il avait le regard fou, les yeux vides. C'était une machine à tuer. Il abattait les gens qui agonisaient à ses pieds, qui le suppliaient de ne pas les tuer. Et lui, il rechargeait et il continuait à tuer. Ils étaient froids et méthodiques. Dans leur façon de se déplacer, de communiquer, ça se voyait que tout ça était pensé, planifié. Ce n'étaient pas des novices aux tirs. Ils n'ont pas connu le maniement d'une arme de guerre la vieille", a raconté ce témoin.
     
     
     
    A l'heure actuelle, il n'y a aucune revendication. Plusieurs survivants de la prison d'otage du Bataclan ont raconté que l'attaque s'est faite sous les cris de "Allah Akbar". "Nous savons qui sont ces criminels", a déclaré le président de la République François Hollande.
     
     
     

     

    MAJ à 12h57.

     

    Le préfet de police de Paris, Michel Cadot, a réagi devant la presse aux attentats. Il est notamment revenu sur l'attaque du Bataclan. "Les terroristes se sont enfermés à l'étage. Ils avaient des ceintures d'explosifs sur eux et se sont fait exploser lors de l'assaut", a-t-il notamment déclaré. Par-ailleurs, selon BFM TV, quatre policiers pourraient avoir été tués au cours de l'assaut.
     
     
    Sur les autres attaques menées par les terroristes, Michel Cadot a aussi affirmé que les "assassins ont balayé de tirs avec des mitraillettes plusieurs terrasses". "Ce sont des actions concertées dans un délai très court. Nous avons trouvé des victimes dans des conditions atroces", selon le préfet de police de Paris.  
     
     
    Enfin, sur les attaques autour du Stade de France, un journaliste de BFM TV faisait état de quatre morts et onze blessés en urgence absolu. "Trois déflagrations ont été entendues", a ajouté le journaliste. 
     
     
     

     

    (capture d'écran iTELE)

     

     

    MAJ à 12h39.

    Sept lieux ont été touchés par les attaques meurtrières par un kamikaze au Stade de France, ainsi que sur cinq axes très fréquentés du centre de Paris: boulevard Voltaire, au coin de la rue Bichat et de la rue Alibert, avenue de la République, boulevard Beaumarchais et rue Charonne.

     

    Le procureur de Paris François Molins a déclaré que le bilan des attaques de Paris, "extrêmement lourd", devrait dépasser les 120 morts. Il a ajouté que "cinq terroristes ont été neutralisés". Le parquet antiterroriste s'est saisi de l'enquête.

     

    Selon un journaliste d'Europe 1 présent au Bataclan, les terroristes "non masqués sont rentrés avec des armes automatiques de type kalachnikov et ont commencé à tirer à l'aveugle pendant une dizaine, une quinzaine de minutes. Ils n'étaient pas masqués, maîtres d'eux-mêmes. Ils étaient très jeunes".  

     

    Selon BFM TV, les assaillants à l'intérieur du Bataclan étaient munis de ceintures explosives.

     

    Aussi, l'Elysée a annoncé un "rétablissement des contrôles aux frontières" et non "une fermeture", comme l'avait annoncé François Hollande. En d'autres termes, cela signifie que les citoyens européens pourront continuer à circuler en France s'ils viennent d'un pays de l'espace Schengen. Ils seront en revanche soumis à un contrôle.

     

     

     

     

    Le point sur les attentats de la nuit de vendredi à Paris. 

     

    Environ 120 personnes seraient mortes, selon un bilan provisoire, vendredi soir, dans plusieurs fusillades, prise d'otage et explosions qui ont eu lieu à Paris et à Saint-Denis, aux abords du Stade de France, selon le procureur de la Ré. Au total, sept lieux différents ont été visés par les attaques. 

     

    L'assaut, lancé dans la salle de spectacle du Bataclan où une prise d'otage était en cours, vient d'être terminé. Le président de la République s'est rendu sur place et s'est entretenu avec les secours.

    Environ 80 personnes seraient mortes (iTELE) lors de la prise d'otage au Bataclan. Selon les informations de BFM, les terroristes présumés du Bataclan seraient "neutralisés". Ils seraient "très jeunes et parlant français" au nombre "de quatre".

     

    Le président de la République, François Hollande, s'est aussitôt rendu au ministère de l'Intérieur afin de suivre avec Manuel Valls et Bernard Cazeneuve l'évolution de ces attaques meurtrières vraisemblablement terroristes. Dans une déclaration, le chef d'Etat a déclaré l'état d'urgence et la fermeture des frontières françaises. "C'est une terrible épreuve qui une fois de plus nous assaille. Nous savons d'où elle vient qui sont ces criminels, qui sont ces terroristes. Nous devons faire preuve d'unité et de sang froid. La France doit être forte, doit être grande. Ce que les terroristes veulent, c'est nous faire peur, nous saisir d'effroi", a notamment déclaré François Hollande.

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