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  • © 2017 AFP | Crée le 26.08.2017 à 19h21 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h26
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    Une capture d'écran montrant des policiers sur les lieux de l'attaque au couteau contre des militaires à Bruxelles, le 25 août 2017 STR-Belga/AFP

    L'homme qui a attaqué vendredi soir des militaires à Bruxelles avec un couteau, avant d'être abattu, était un Belge d'origine somalienne, sans antécédents liés à des faits terroristes, a indiqué samedi le parquet fédéral belge.

    L'assaillant, né en 1987, avait un domicile à Bruges, dans le nord-ouest de la Belgique, où une perquisition a été menée pendant la nuit, a ajouté dans un communiqué le parquet, qui a ouvert une enquête pour des "faits de tentative d'assassinat terroriste".

    Armé d'un couteau, l'assaillant "s'est précipité dans le dos" de trois militaires, en plein coeur de Bruxelles, "et les a frappés" avec un couteau, "en criant +Allah Akbar+" (Dieu est le plus grand en arabe), selon les détails donnés par les enquêteurs.

    L'un des militaires a alors riposté en ouvrant le feu. "L'homme a été touché à deux reprises et est décédé peu après, à l'hôpital, des suites de ses blessures", a détaillé le parquet, ajoutant que l'assaillant, outre son couteau, "était aussi en possession d'une arme à feu factice et de deux corans".

    "L'homme qui a commis les faits est né en 1987 et est de nationalité belge, d'origine somalienne" selon cette même source, précisant qu'il "est arrivé en Belgique en 2004 et a obtenu la nationalité belge en 2015".

    "Il n'était pas connu pour des faits de terrorisme, mais bien pour un fait de coups et blessures en février 2017", a ajouté le parquet fédéral, qui a saisi un juge d'instruction de Bruxelles spécialisé en matière de terrorisme.

    L'attaque a eu lieu peu après 20h00 (18h00 GMT) sur un boulevard en plein centre de la capitale belge, à proximité de la Grand Place, l'une des zones "sensibles" où patrouillent des militaires armés, en raison de la menace terroriste en Belgique. Cette présence avait été renforcée après les attentats du 22 mars 2016, qui avaient fait 32 morts dans la capitale belge.

    Lors de la même soirée de vendredi, un homme a été arrêté à Londres après avoir blessé des policiers devant le palais de Buckingham. La police a indiqué qu'il était détenu dans le cadre de la législation antiterroriste britannique.

    Ces deux attaques sont survenues dans un contexte de multiplication des attentats jihadistes en Europe, et alors qu'une grande manifestation pour la paix est prévue samedi en Espagne, une semaine après les attentats de Barcelone et de Cambrils qui ont fait 15 morts et plus de 120 blessés.

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