azerty

azerty

qwerty

qwerty

  • © 2017 AFP | Crée le 14.10.2017 à 19h56 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h35
    Imprimer
    afp_journal
    Une tente blanche a été montée sur le parvis de la gare Saint-Charles à Marseille le 1er octobre 2017, pour permettre aux enquêteurs de travailler BERTRAND LANGLOIS-AFP/Archives

    Les deux hommes interpellés mardi dans l'enquête sur le meurtre de deux jeunes femmes à la gare de Marseille (sud-est de la France) ont été relâchés, a-t-on appris samedi de source judiciaire.

    Les deux hommes, de 24 et 29 ans, ont été remis en liberté vendredi "en l'absence d'éléments incriminants", a précisé cette source.

    L'homme de 24 ans avait été interpellé car il était suspecté d'avoir hébergé le tueur, Ahmed Hanachi, lors d'un de ses passages à Toulon (sud-est) et celui de 29 ans avait été arrêté en compagnie du premier.

    Ces derniers jours, l'enquête s'est concentrée sur la famille d'Ahmed Hanachi, un Tunisien de 29 ans qui a tué le 1er octobre deux cousines de 20 ans à l'aide d'un couteau, avant d'être abattu par des militaires de l'opération Sentinelle.

    L'un de ses frères, Anis, décrit comme un ancien combattant jihadiste dans la zone irako-syrienne, a été arrêté dans le nord de l'Italie à la suite d'un mandat d'arrêt international délivré par les autorités françaises.

    Les enquêteurs cherchent notamment à savoir si cet homme, qui devrait être prochainement transféré en France, "a endoctriné son frère Ahmed et provoqué sa radicalisation", d'après le chef de l'antiterrorisme italien Lamberto Giannini.

    Un autre frère a été arrêté avec son épouse en Suisse. Connu pour ses liens avec la mouvance jihadiste, "son rôle dans l'attentat de Marseille, si rôle il y a, n'est pas clair", a indiqué Cathy Maret, directrice de la communication de la police fédérale suisse (Fedpol). Cet homme a été placé en détention en vue de son expulsion vers la Tunisie.

    Interpellé deux jours avant l'attaque pour vol dans un centre commercial de Lyon (sud-est), Ahmed Hanachi avait été relâché le lendemain, alors qu'il était en situation irrégulière.

    Cette remise en liberté a suscité une vive polémique. L'inspection générale de l'administration a pointé "des dysfonctionnements jugés graves". Le préfet du département du Rhône a été limogé par le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb.

    MERCI DE VOUS IDENTIFIER
    X

    Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.

    J'AI DÉJA UN COMPTE
    Saisissez votre nom d'utilisateur pour LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes
    Saisissez le mot de passe correspondant à votre nom d'utilisateur.
    JE N'AI PAS DE COMPTE

    Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ?
    Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement.
  • VOS RÉACTIONS
    Contenus Locaux Sponsorisés










rigthbanner

rigthbanner