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  • © 2017 AFP | Crée le 12.12.2017 à 23h27 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h55
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    Le Front national a été mis en examen en tant que personne morale le 30 novembre dans le cadre de l'enquête sur des emplois fictifs présumés d'assistants de députés européens FN, a déclaré à l'AFP mardi le trésorier du parti. LIONEL BONAVENTURE-AFP/Archives

    Le Front national a été mis en examen en tant que personne morale le 30 novembre dans le cadre de l'enquête sur des emplois fictifs présumés d'assistants de députés européens FN, a déclaré à l'AFP mardi le trésorier du parti.

    "C'est la suite logique de la procédure", a affirmé à l'AFP Wallerand de Saint-Just, confirmant une information du quotidien Le Monde.

    Le parti a été mis en examen par les magistrats pour complicité et recel d'abus de confiance "à titre habituel", c'est-à-dire de façon répétée, a-t-on précisé de source judiciaire.

    "Cette mise en examen permettra au Front national de démontrer que pas un centime n'a été détourné", s'est défendue la formation politique dans un communiqué.

    Dix-sept eurodéputés ou ex-eurodéputés Front national, dont la présidente du FN Marine Le Pen et son père Jean-Marie Le Pen, sont visés par l'enquête, ouverte en 2015, qui porte sur au moins une quarantaine d'assistants.

    Mme Le Pen elle-même a été mise en examen le 30 juin pour abus de confiance et complicité d'abus de confiance.

    L'enquête porte sur des salaires versés sur des fonds européens à des assistants d'élus FN au Parlement européen, qui pourraient avoir été affectés à d'autres tâches.

    Le siège du parti à Nanterre, en banlieue parisienne, avait été perquisitionné en février 2016 et de nouveau en février 2017 dans le cadre de cette enquête.

    Cette affaire avait rebondi au printemps pendant la campagne présidentielle quand Marine Le Pen, finalement battue au second tour tour par Emmanuel Macron, avait refusé de se rendre à une convocation des juges le 10 mars et dénoncé une "opération politique".

    "Nous n'avons pas la moindre démonstration que le Front national ait recelé ou organisé quoi que ce soit", a déclaré mardi M. de Saint-Just.

    Le trésorier du FN a demandé aux juges de surseoir à cette mise en examen, estimant qu'une magistrate, Claire Thepaut, "aurait dû se récuser d'elle-même en raison de son appartenance au syndicat de la magistrature".

    Mais la cour d'appel de Paris avait jugé irrecevable cette demande de récusation, avait-on appris le 23 novembre.

    "Il est absolument intolérable que des représentants de ce syndicat d'extrême gauche puissent en quoi que ce soit juger des affaires concernant le FN et ses dirigeants", a redit mardi le FN dans son communiqué.

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