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  • © 2017 AFP | Crée le 04.08.2017 à 19h02 | Mis à jour le 05.08.2020 à 07h22
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    Les avocats de Murielle Bolle Jean-Paul Teissonniere (D) et Christophe Ballorin (G) arrivent au palais de justice de Dijon, le 4 août 2017 PHILIPPE DESMAZES-AFP

    Murielle Bolle, témoin clé de l'affaire Grégory récemment écroué, est arrivée vendredi matin à la chambre de l'instruction de Dijon, qui doit statuer sur sa demande de remise en liberté, a constaté un journaliste de l'AFP.

    Agée de 48 ans, Mme Bolle a été transférée de la maison d'arrêt de Dijon dans un monospace foncé aux vitres occultées, sous la protection des forces de l'ordre. Elle a été mise en examen le 29 juin pour enlèvement suivi de mort et placée en détention provisoire.

    L'audience devait démarrer à 09H30. "Je crois que ce sera une audience longue, puisque tout a été ressorti par les parties civiles et le parquet", a déclaré Me Jean-Paul Teissonnière, l'un des conseils de Murielle Bolle, en arrivant à la cour d'appel de Dijon.

    "On va s'expliquer sur la totalité des éléments qui sont en contradiction (...) et nous avons bon espoir de parvenir à un résultat satisfaisant", a-t-il ajouté.

    Adolescente à l'époque des faits, la suspecte avait accusé son beau-frère Bernard Laroche du rapt du garçon de quatre ans retrouvé mort dans la Vologne, avant de se rétracter.

    Pour le parquet général, qui a requis le maintien en détention, le revirement de la jeune fille de 15 ans s'explique par des violences familiales subies à l'époque. Et il estime que de nouvelles pressions ne sont pas à exclure.

    Mais les avocats de Murielle Bolle demandent de leur côté quelles "pressions récentes et actuelles" pourraient justifier le maintien en détention provisoire de leur cliente et affirment que "tous les éléments (...) sont réunis" pour une libération sous contrôle judiciaire, avec notamment une solution d'hébergement extra-familiale.

    L'affaire Grégory avait été relancée de manière spectaculaire à la mi-juin avec l'arrestation de Marcel et Jacqueline Jacob, grand-oncle et grand-tante de Grégory, soupçonnés d'être les "corbeaux" de l'affaire, auteurs de plusieurs lettres anonymes bien renseignées.

    Mis en examen pour enlèvement et séquestration suivis de mort, les deux septuagénaires, jamais inquiétés jusqu'alors, avaient été remis en liberté quelques jours plus tard, sous contrôle judiciaire strict: domiciliés séparément dans des lieux tenus secrets, avec notamment l'interdiction absolue de parler à la presse.

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